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Jours tranquilles à Paris

28 juin 2020

L'Art dans les Chapelles

chapelles

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27 juin 2020

Erdeven - Naufrage du « Bibouzec »: les plongeurs appellentà la solidarité

naufr

naufrage

Suite au naufrage et de son bateau, « Bibouzec », samedi dernier à la barre d’Etel, le club subaquatique CSBE en appelle à la solidarité. Il lance une cagnotte sur internet pour recevoir des dons.

Une avarie mécanique survenue juste au passage de la barre est à l’origine du naufrage. La seule solution pour évacuer l’épave drossée a été le démantèlement. « Un crève-cœur », lundi, pour les plongeurs qui voyaient disparaître ce qui était plus qu’un bateau. Depuis son achat et sa restauration en 2000, ce 8 m en alu a accompagné de nombreux plongeurs de toute la France pour des initiations, formations, passages de brevet, sorties photos avec le comité départemental, mais aussi événements.

« La question de l’avenir du club est posée », lâche Cyril Cayssat, webmaster, qui a mis en place la cagnotte. « Le club ne reçoit plus aucune subvention, et on venait d’investir 7 000 € pour des travaux sur la coque. Avec ce qui reste en caisse et ce qu’on peut espérer des assurances, on ne pourra pas le remplacer. Les collectivités sont-elles prêtes à nous accompagner ? Présenter un plan de financement est encore un peu tôt, mais on a demandé des devis. Pour un bateau neuf accessible aux PMR, il faudrait au moins 80 à 100 000 €, plus la motorisation et l’équipement ».

D’autres options sont à l’étude. Et pour cette saison, de manière transitoire, accueil éventuel par d’autres structures pour quelques sorties, voire la location, « si possible car les besoins sont spécifiques ».

Fondé en 1976 par Armand Le Bot, le Club subaquatique de la Barre d’Etel est un des « historiques » du Sud-Bretagne. Il est affilié à la fédération et agréé Jeunesse et sport. Depuis son non-relogement par la mairie d’Etel en 2016, il a trouvé refuge à Erdeven. Il compte une quarantaine d’adhérents.

Pratique

leetchi.com/c/soutien-pour-le-csbe

27 juin 2020

Exposition Sabine Weiss - actuellement au port de Vannes (la Rabine)

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27 juin 2020

Récit - Elections municipales 2020 : récit d’une campagne sous le signe du coronavirus

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Par Patrick Roger, avec les correspondants du "Monde"

Abstention historique le 15 mars, bon score des écologistes et crise sanitaire ont modifié les enjeux et les programmes en vue du deuxième tour.

Quinze semaines et une crise sanitaire auront séparé le premier tour des élections municipales, le 15 mars, du second, dimanche 28 juin. Comment imaginer, dans ces conditions, que la campagne pour ce second tour puisse se dérouler normalement quand tout est hors norme ?

Alors qu’habituellement les candidats ont cinq jours pour faire campagne entre les deux tours, ils auront cette année disposé de quatre semaines entre la parution du décret de convocation des électeurs, le 28 mai, et la clôture de la campagne, vendredi 26 juin à minuit.

Une campagne masquée, au sens propre du terme, durant laquelle les précautions sanitaires et le respect des gestes barrières étaient toujours de mise. Une campagne anxiogène sur laquelle planait encore le spectre de l’abstention historique du premier tour (55,35 %, soit plus de 25 millions d’électeurs qui ne se sont pas rendus dans les bureaux de vote) mais aussi des contaminations provoquées par le Covid-19 lors de ce scrutin. Une campagne chamboulée par une crise sanitaire qui débouche sur une crise économique et sociale majeure.

Hors norme, oui, cette campagne électorale qui concerne 4 922 communes, arrondissements et secteurs non pourvus au premier tour et où 16,5 millions d’électeurs sont appelés à élire pour six ans leurs conseillers municipaux et communautaires – il reste 1 102 conseils d’intercommunalité à compléter.

Chasse aux procurations

La première angoisse des candidats : comment faire revenir aux urnes les abstentionnistes du premier tour ? Tous sont persuadés que les voix manquantes sont les leurs.

A Toulouse, où à peine plus d’un tiers des électeurs se sont déplacés le 15 mars, le maire sortant, Jean-Luc Moudenc (Les Républicains, LR), soutenu par La République en marche (LRM), s’est immédiatement dit « le plus pénalisé par ce record d’abstention, dû bien évidemment à la crise du Covid ». Or les instituts de sondage prévoient pour le second tour une abstention équivalente, voire supérieure à celle du premier tour.

S’est alors engagée, un peu partout en France, une véritable chasse aux procurations : si les électeurs ne viennent pas à toi, tu iras les chercher.

D’autant plus que la loi du 22 juin a autorisé, à titre dérogatoire, chaque mandataire à disposer de deux procurations. Les bonnes volontés se sont démultipliées pour recueillir les précieux formulaires. De manière un peu poussée ? Difficile, parfois, de tracer la limite entre la démarche volontaire et l’acte captif.

Toujours est-il que les soupçons d’irrégularités ont commencé à germer, donnant à la campagne une tonalité acerbe. A Marseille, une enquête préliminaire a été ouverte après les révélations de la presse laissant supposer que les équipes de la candidate LR, Martine Vassal, récoltaient des procurations de façon illégale.

A Bordeaux, le maire sortant, Nicolas Florian (LR), a été assigné en référé par son principal rival, Pierre Hurmic (Europe Ecologie-Les Verts, EELV). Ailleurs, comme à Laval ou à Montrouge (Hauts-de-Seine), des candidats ont appelé l’attention du préfet sur des « pratiques douteuses », « de nature à troubler la sincérité du scrutin ».

« Recette miracle »

Mais comment faire campagne tout en observant les règles de distanciation physique ? Dans le Rhône, les candidats rivalisent d’imagination. Les « meetings numériques » se multiplient. Le 23 juin, les candidats écologiste et socialiste à Villeurbanne (Rhône) proposaient une réunion commune diffusée en direct par la chaîne YouTube. Chemises blanches, micros en main, Bruno Bernard (EELV) et Cédric Van Styvendael sont assis sur une chaise haute, dans un studio, interrogés par un animateur. L’écran indique « vingt-quatre visionnages en cours ».

Le même soir, Gérard Collomb (LRM) et son allié François-Noël Buffet (LR) convient le public à « un grand meeting digital » pour défendre leur candidature commune à la métropole sur Facebook Live. L’application signale 193 personnes connectées.

Dans le camp écologiste, on considère que la campagne numérique a ses limites. « Les spectateurs restent dans le cercle des militants. Les réseaux sociaux ne sont pas la recette miracle », estime l’équipe de Grégory Doucet. Le candidat EELV à la mairie de Lyon a opté pour d’autres actions, respectueuses des distances sociales. Masque vert sur le visage, les militants ciblent des lieux stratégiques de quartier, proposant leur programme dans des cagettes de légumes.

Phoning intensif, séances de questions sur les réseaux sociaux, vidéos thématiques… La campagne s’est numérisée. Même si les déambulations dans les rues, tracts en main, les distributions dans les boîtes aux lettres, sur les marchés et à la sortie des écoles font toujours partie de la panoplie des équipes en campagne. En revanche, pour cause de Covid-19, le porte-à-porte a cette fois été remisé.

Autre conséquence de la crise sanitaire, elle a conduit nombre de candidats à renforcer dans leurs propositions les réponses à apporter dans le domaine économique et social.

A Bordeaux, le candidat écologiste, Pierre Hurmic, reconnaît n’avoir « pas plus anticipé que les autres que la crise sanitaire déboucherait sur une crise sociale et économique d’une telle ampleur ». Il a décidé d’appuyer certains volets de son programme pour défendre « un tissu économique bordelais très menacé », mais aussi en soutenant financièrement les associations mobilisées pour répondre à l’urgence alimentaire.

Thomas Cazenave (LRM), qui a rejoint la liste du maire sortant, Nicolas Florian, plaide pour « un vrai plan de relance économique, c’est-à-dire des actions à court et moyen terme pour faire face à la crise économique et sociale qui est en train de s’installer dans notre pays, notre territoire, notre ville ». A commencer par un chèque de 50 euros pour « redonner à chaque foyer bordelais l’envie de revenir consommer dans le centre-ville ».

Favoriser l’autonomie alimentaire

A Dijon, Emmanuel Bichot (LR) a édité un nouveau programme identifiant les actions immédiates et à long terme en réponse à la crise économique. Il entend prolonger jusqu’à la fin de l’année la gratuité des droits de terrasse aux restaurateurs et cafetiers.

Si le maire sortant, François Rebsamen (PS), estime que la crise va obliger à étaler dans le temps la réalisation de certains projets, M. Bichot veut faire adopter un plan pluriannuel d’investissement sur les équipements publics et la voirie pour donner de la visibilité aux entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics.

La candidate EELV, Stéphanie Modde, admet avoir « musclé » son projet sur « l’emploi et la précarité en raison de la crise économique que nous allons traverser », tout en conservant une dimension écologique afin de favoriser l’autonomie alimentaire de proximité et d’aider les agriculteurs à trouver des canaux de distribution.

Pour l’écologiste Anne Vignot, à Besançon, la relance doit passer par la promotion de pratiques vertueuses : circuits courts, commerces de proximité, transition énergétique… Ses rivaux, Eric Alauzet (LRM) et Ludovic Fagaut (LR) reprennent volontiers ces thèmes mais jugent que la candidate EELV, « soumise au Parti communiste », ne saurait prendre en compte « sérieusement » les activités économiques plus classiques. Ils s’affichent en candidats « capables de piloter une vraie relance de terrain », avec des propositions complétant les aides de l’Etat et des autres collectivités. Leur axe de campagne : « l’utopie contre la raison », tout en avançant des chiffres sur les millions d’euros à insuffler dans la reprise sans qu’on sache très bien ce qu’ils représentent dans les faits et comment ils seront financés.

Le Covid-19 aurait-il pour vertu de se transformer en atout de campagne pour la maire sortante de Lille, Martine Aubry (PS) ? « Pendant cette crise, on a travaillé dix-huit heures sur vingt-quatre. Ça a été un énorme travail. Il faut de la compétence, du talent, de l’expérience et il en faudra encore plus dans les prochains mois pour passer la récession le moins mal possible », plaide-t-elle sans fausse modestie.

Difficile équilibre

L’ancienne ministre s’appuie sur la crise économique annoncée pour rappeler qu’« il n’y aura pas de transition écologique sans justice sociale ». « Et le lien social et la solidarité, qui en parle ? Qui soutient les associations comme on l’a fait ? », ajoute-t-elle, se disant persuadée que ses thèmes de prédilection ont, avec la crise, repris de la vigueur.

Cependant, de même que les sujets liés à l’environnement et à la transition énergétique s’étaient imposés dans la campagne avant le 15 mars, la poussée écologiste au premier tour oblige les autres candidats à ne pas déserter ce terrain tout en appuyant sur les thématiques sociales, qui sont remontées dans la hiérarchie.

Ainsi, dans la profession de foi adressée aux Rennais par l’équipe de la maire sortante, Nathalie Appéré (PS), désormais alliée avec l’écologiste Matthieu Theurier, les « aides d’urgence pour l’investissement des TPE et PME avec bonus écologique » figurent en première place des douze engagements du « contrat de mandat » qu’ils proposent aux électeurs. « Je sais vos inquiétudes pour l’emploi, l’insertion professionnelle des jeunes, les risques de précarité. Ces urgences ne doivent pas nous faire renoncer, bien au contraire, à la lutte contre le réchauffement climatique », écrit l’édile. Une formule qui résume bien le difficile équilibre à trouver dans cette nouvelle campagne.

27 juin 2020

Performance - Milo Moiré ! Photos : Peter Palm

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27 juin 2020

Algues vertes : le maire de Gâvres interpelle le préfet

Source : OUEST-FRANCE

« Le courrier (toujours pas reçu) du préfet nous a surpris, confie Dominique Le Vouëdec, maire de Gâvres. Il nous met en porte à faux par rapport au grand public, qui ne manquera pas de nous rendre responsable de ce phénomène. »

Le préfet, dans ce courrier daté du 19 juin et communiqué à la presse par Eaux et Rivières de Bretagne, invite les maires des communes du littoral (notamment Larmor-Plage, Gâvres, Plœmeur, Quiberon, Carnac, presqu’île de Rhuys) à installer des panneaux d’information aux entrées et sorties des secteurs identifiés comme sensibles et surtout à « réaliser un ramassage régulier des algues, selon une fréquence adaptée aux situations d’échouage […] En cas de dépôts massifs d’algues, ceux-ci devront être collectés dans les 24 à 48 heures afin de limiter les risques de putréfaction ». Ceci pour éviter les risques inhérents à la putréfaction des algues qui peut entraîner l’émission d’hydrogène sulfuré.

« En quoi l’État agit en matière de prévention ? »

Le maire de Gâvres se dit « très interrogatif » sur cette « injonction du préfet, sur le fond et sur la forme. Notre commune se sent concernée par ce phénomène : nous constatons qu’il touche de façon très ponctuelle notre plage du Goërem et très peu la Grande plage de Gâvres. Nous sommes prêts à agir dans ce domaine. Il conviendrait cependant que l’État, propriétaire du domaine public maritime répondre à quelques questions : comment enlever des algues sans désensabler les plages qui ont été réengraissées pour notre sécurité ? Comment une commune de 700 habitants finance de gros investissements en matériel et retraitement, alors que l’État diminue régulièrement sa dotation globale de fonctionnement ? Quelle filière de retraitement nous propose l’État ? En matière de prévention, en quoi l’État agit sur les bassins-versants du Scorff et du Blavet pour réduire la production de nitrates ? […] Les communes sont prêtes à faire mieux. Elles sont souvent démunies. »

Il réclame des « actions concertées de gestion du domaine public maritime réclamées depuis fort longtemps ».

Le maire de Plœmeur, Ronan Loas, lui aussi, tempête contre ce courrier. « Si le préfet veut de la signalisation, il viendra l’installer lui-même. Nous, on ne fera rien. » La commune de Plœmeur n’entend « pas changer ses habitudes. On ramassera quand ça sera nécessaire sur la plage de l’anse du Stole, à Lomener ».

27 juin 2020

BANKSY

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27 juin 2020

Pierre et Gilles

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27 juin 2020

Étel - SNSM : rencontre et démonstrations demain

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« On a mille raisons de soutenir la SNSM ». Dimanche 28, l’équipage et les bénévoles de la station SNSM d’Etel seront sur le pont pour la journée nationale des sauveteurs en mer.

« Comme l’an dernier, nous installerons notre stand dès le matin à 10 h place des Thoniers, devant la station. Nous y proposerons les vêtements et les objets dérivés SNSM. La vedette sera à quai et le public pourra la visiter », annonce Yannick Delval, président de la station. « L’après-midi, le stand sera toujours là, et entre 14 h et 16 h, en fonction du public qui sera présent, on fera des exercices face aux quais, avec la vedette et le semi-rigide : homme à la mer, remontée à l’aide du filet Markus ou de la barquette ».

Cette journée sera aussi l’occasion de rencontrer les sauveteurs, de parler de sécurité en mer à la veille d’une saison de navigations, et de faire des dons, d’adhérer ou de renouveler son adhésion. « Nous avons eu un petit ralentissement durant la période Covid, mais ça repart un peu », observe Yannick Delval, en rappelant que les sauveteurs de la SNSM sont tous bénévoles.

27 juin 2020

Vu sur internet

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