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Jours tranquilles à Paris

26 janvier 2020

Vu sur internet - j'aime

jaime22

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26 janvier 2020

Save the date.....

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26 janvier 2020

Coronavirus : pourquoi il ne faut pas céder à la psychose

Même si les autorités sanitaires prévoient que d’autres cas de malades sont possibles sur notre territoire, elles se montrent rassurantes. Les trois patients infectés, à Paris et Bordeaux, vont bien.

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Devant la tour Eiffel ce samedi, de nombreux touristes portaient un masque pour éviter tout risque de contagion par le coronavirus. LP/Aurélie Audureau

Par Florence Méréo

Une poussée de fièvre, des courbatures, de la toux… Pour cette étudiante de 18 ans, réceptionniste dans un hôtel accueillant des touristes chinois, le coupable était idéal : coronavirus. « Elle y a tout de suite pensé et était très inquiète », confie le Dr Gérald Kierzek, urgentiste à l'Hôtel-Dieu, à Paris, où la patiente est venue consulter ce vendredi soir.

Si la jeune femme en est quitte pour quelques jours de grippe, elle est symptomatique de l'autre effet indésirable du mystérieux virus qui secoue le monde : le risque de céder à la panique alors que trois premiers cas de nCoV, son surnom, ont été confirmés en France.

Coronavirus : pourquoi il ne faut pas céder à la psychose

« L'enjeu est aussi de maîtriser la psychose des gens et de leur délivrer les bons messages », insiste le médecin. Le premier est de ne justement pas se rendre aux urgences ou chez son médecin de ville mais d' appeler le 15 en cas de symptômes. « Rappelons que le virus est suspecté uniquement en cas de contact direct avec une personne infectée ou s'il y a eu un séjour en Chine », résume Gérald Kierzek.

Si le ton des médecins, comme des autorités de santé, se veut rassurant, c'est aussi parce qu'en France, les deux hommes et la femme contaminés, « vont bien ». Devant l'hôpital parisien Bichat, le professeur Yazdan Yazdanpanah, le dit dans un grand sourire. Ici, un couple de jeunes trentenaires, d'origine chinoise et revenant de Wuhan (l'épicentre de l'épidémie), a été pris en charge vers midi ce vendredi, après avoir contacté le 15. À 20 heures, le test - un recueil de matières dans la gorge ou un simple crachat - était clair : tous deux étaient positifs au coronavirus.

«La France est très bien préparée»

Même si chacun a été placé en quarantaine, dans deux chambres séparées où l'air entre mais ne ressort pas, ils sont très en forme, physiquement comme psychologiquement. Idem à Bordeaux, où un homme de 48 ans, qui en janvier avait effectué un déplacement professionnel dans l'Empire du milieu, a été infecté mais ne présente pas de forme grave de la maladie. Les festivités du Nouvel An chinois, qui devaient se tenir ce dimanche dans la cité bordelaise ont tout de même été annulées, par « principe de précaution ». LE PARISIEN

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26 janvier 2020

Exposition Universelle de 1900 à Paris

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26 janvier 2020

Riss de Charlie Hebdo dévoile le journal criblé par les balles de l'attentat

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26 janvier 2020

La maison de Juliette est à louer pour la Saint Valentin sur Airbnb

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Pour célébrer la Saint Valentin, Airbnb ouvre les portes de la demeure de l'héroïne Shakespearienne à Vérone.

Après avoir permis de poser ses valises dans le château de Downton Abbey, au Louvre ou encore dans la villa de Barbie à Malibu, Airbnb imagine une nouvelle expérience inédite pour la Saint Valentin. Cette fois ci à Vérone, où le site de location ouvre les portes d'une demeure du 13ème siècle, à un coup le gagnant, dont la légende prétend qu'elle ait appartenu à la Juliette de Shakespeare.

Nommée Casa di Giulietta, on y retrouve notamment le célèbre balcon depuis lequel l'héroïne shakespearienne aurait entendu la déclaration de Roméo et une série d'aménagements réalisés par un architecte pour l'occasion. Au programme? Après avoir été accueillis par un majordome, les visiteurs profiteront d'un dîner aux chandelles, réalisé par le chef étoilé Giancarlo Perbellini. Avant de passer la nuit dans la chambre de Juliette, dont le lit provient du film de Franco Zeffirelli, sorti dans les années 60. Sans oublier la possibilité de découvrir Vérone et ses dédales hautement romantiques.

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Le film Roméo et Juliette de Franco Zeffirelli © Paramount

Pour gagner la nuit? Les candidats éligibles devront écrire une lettre à Juliette, en partageant leur propre histoire d'amour poignante et en expliquant pourquoi eux et leur partenaire seraient des invités parfaits. Les candidatures peuvent être soumises ici, jusqu'à 05:59 (heure française) le 3 février 2020. Avis aux amateurs...

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26 janvier 2020

Journal Du Dimanche (JDD) de ce 26 janvier

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26 janvier 2020

Reportage - Avec le Brexit, la France s’apprête à perdre ses conseillers municipaux britanniques

Par Simon Auffret, envoyé spécial en Charente

Près de 800 élus locaux, de nationalité britannique, seront dépourvus de leur droit de vote et de candidature aux élections municipales dès la fin du mois de janvier.

La scène remonte au mois de novembre 2003, mais reste imprimée dans la mémoire de Benoît Savy : l’actuel maire de Montrollet (Charente), 312 habitants, à la frontière du bocage limousin, est alors de retour dans la région après plusieurs années d’absence. Il ouvre un soir sa porte à un inconnu, cheveux blancs et regard vif, qui se présente comme membre du conseil municipal. « Son accent était prononcé, je n’en revenais pas, en rigole encore l’édile. Le premier élu à me souhaiter la bienvenue, pour mon retour au pays, était un Britannique ! »

Le « Britannique », assis face à lui dans la mairie de Montrollet, dix-sept ans plus tard, s’appelle Colin Parfitt. En 2001, Le Monde avait déjà rencontré cet ancien professeur d’université londonien, l’un des premiers Anglais à devenir conseiller municipal en France. Une possibilité ouverte pour tout résident européen, cette année-là, à la suite du traité de Maastricht de 1992.

Cet engagement dans la vie locale est pourtant amené à disparaître, le 31 janvier, avec l’officialisation du Brexit : les 766 élus locaux de nationalité britannique, et avec eux l’ensemble des citoyens anglais expatriés, ne pourront ni voter ni se porter candidats aux élections municipales. En Charente, où vivent 6 300 ressortissants britanniques, 70 conseillers municipaux sont concernés.

« Le phénomène est symptomatique d’une déconnexion entre les grands enjeux politiques et la vie des petites communes, déplore Benoît Savy. On ne s’attendait pas à ce que la sortie du Royaume-Uni, qui bouscule l’Union européenne [UE], débarque à la table d’un conseil municipal de Charente limousine. »

A Montrollet, Colin Parfitt a laissé sa place à un autre Anglais, Norman Cox, aux municipales de 2014. Son successeur a demandé à obtenir la double nationalité dès le début de l’année 2018, espérant ainsi pouvoir participer aux élections de 2020 malgré l’incertitude du Brexit. « Dix-huit mois plus tard, je n’ai pas de réponse, se désole l’artisan en bâtiment, arrivé en Charente à la fin des années 1990. Je crains qu’à quelques semaines près, je ne puisse inscrire mon nom sur la liste. »

« Ma vie est ici »

A 40 kilomètres plus à l’ouest, dans une autre salle de conseil municipal, l’inquiétude est la même. « Les Anglais d’ici, ils n’aiment pas trop “Bojo” [Boris Johnson, le premier ministre britannique] », prévient Guy Cadet, maire de Nieuil, 932 habitants et une conseillère municipale anglaise, Jane Corbett. « Dans une société polyculturelle, la médiation avec les Anglais est inévitable. Sa présence nous a rendu de grands services », lance, élogieux, l’élu de 77 ans. En cas de conflit, d’incompréhension entre voisins ou avec l’administration, les élus anglais ont souvent joué le rôle d’intermédiaire avec les familles britanniques, dont une quarantaine sont installées à Nieuil.

« Ma vie est ici, je suis plus Française qu’Anglaise, soupire Mme Corbett. La naturalisation est une démarche très intime. Il ne m’a pas semblé naturel de la demander dès la première annonce du Brexit, qui nous a longtemps semblé être irréalisable. » La préfecture de Charente a, en effet, enregistré une augmentation des demandes de séjour (749 en 2018, contre 180 l’année précédente), mais les demandes de double nationalité restent peu nombreuses (quarante entre janvier et septembre 2019, pour vingt naturalisations).

A l’approche des deux échéances municipales du 15 et 22 mars, l’incertitude demeure en l’absence de consignes préfectorales : quelle est la marche à suivre, par exemple, pour supprimer des listes électorales l’ensemble des électeurs britanniques ? « Aucune idée », répond Pierre Berton ; le maire de Saint-Simeux (Charente), 594 habitants, a été élu en 2014 en présentant sur sa liste une Anglaise, Anna Broussaud, arrivée de Manchester en 2003. « Je vois mon engagement comme une manière de rendre à la commune ce qu’elle donne en m’accueillant », confie-t-elle. Début 2018, l’ancienne gérante de bar, devenue enseignante d’anglais, a fait une demande d’information auprès du ministère du Brexit, à Londres, pour connaître le sort des élus municipaux en France. « Sept mois plus tard, ils ne m’ont répondu qu’une seule chose : “Nous n’en savons rien” », regrette-t-elle.

A Saint-Simeux, comme à Nieuil et Montrollet, les élus louent le « regard différent sur la vie locale » et « un volontarisme supérieur à de nombreux Français » des élus britanniques. « Ils s’engagent et servent une République qui n’est pas la leur, assène Benoît Savy. Leur retirer ce droit me paraît injuste, préjudiciable pour eux comme pour la vie locale. »

En quelques semaines, de nombreux résidents britanniques passeront même du statut d’élus potentiels en France à celui de citoyens britanniques dépourvus d’une partie de leurs droits civiques : une disposition de la loi anglaise, toujours en vigueur, interdit à tout expatrié parti du pays depuis plus de quinze ans de participer à une élection. « Ils sont dans un no man’s land, un vide juridique, résume Pierre Berton. S’ils ont encore une patrie, ils n’ont plus aucun droit de vote. »

26 janvier 2020

Consentement...

consentement

26 janvier 2020

On the road...

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Sur la route (titre original : On the Road) est le plus connu des romans de Jack Kerouac, publié en 1957. Le roman raconte de manière quasi autobiographique les aventures de l'auteur (nommé Sal Paradise dans le livre) et d'un compagnon de route, Neal Cassady (nommé Dean Moriarty dans le roman). On y croise également Allen Ginsberg (Carlo Marx) et William Burroughs (Old Bull Lee). Dans le tapuscrit original cependant publié en 2007 par les éditions américaines Viking, sous le titre On the Road: The Original Scroll, et en 2010 par les éditions Gallimard pour la version française, sous le titre Sur la route - le rouleau original les prénoms réels des protagonistes sont conservés.

Sur la route est la mise en scène, par le biais de ses fréquentations plus ou moins proches, de ce que Kerouac nomma lui-même la « Beat Generation ». Cette dernière ne désigne pas spécialement ceux qu'il fréquente lorsqu'il introduit ce mot, lors d'une conversation avec John Holmes, mais bien ceux qu'il appelle les « nouveaux hipsters américains », ceux qui « avaient dépassé le stade des plaisirs charnels et s’intéressaient maintenant à Dieu et aux Visions sacrées ». Elle n'a donc rien d'un courant littéraire ; les amis de Kerouac, comme Allen Ginsberg ou William Burroughs, même s'ils partagent un goût pour la prose spontanée et le surréalisme, ont des façons d'écrire qui ne se ressemblent pas.

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