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Jours tranquilles à Paris

20 mai 2019

"Un bâton qui a l'aiguille dans mon oeil" de Lexa Kim {NSFW / éditorial exclusif}

PAR DUSTIN HOLLYWOOD LE 17 MAI 2019

La photographe Lexa Kim a réalisé cet éditorial exclusif pour nous, ici chez NAKID , et avec lui ce poème intitulé "Coller cette aiguille dans mon oeil"! Modèle vedette Lola et stylé par Freya .

'Coller cette aiguille dans mes yeux'

«Beaucoup d'hommes ont essayé de te sauver mais tout ce qu'ils font, c'est d'essayer.

Réveillée un jour de solitude, elle ne peut s'empêcher de se demander pourquoi.

Je l'ai vu sur son visage, elle veut faire pleurer ces baiseurs. "

https://www.instagram.com/mycamshoot/

https://www.instagram.com/yambogdini/

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20 mai 2019

Extrait d'un shooting

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19 mai 2019

Alain Delon - Palme d'Honneur à Cannes

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19 mai 2019

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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19 mai 2019

Les Pays-Bas remportent l’Eurovision 2019, la France se classe 14e

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Par Mouna El Mokhtari

Les bookmakers avaient vu juste : Duncan Laurence s’est imposé avec sa chanson « Arcade ». La cérémonie, qui se déroulait à Tel-Aviv, a été marquée par des messages politiques.

Cela faisait quarante-quatre ans qu’ils l’attendaient. Ce samedi 18 mai, les Pays-Bas ont gagné pour la cinquième fois de leur histoire (après 1957, 1959, 1969 et 1975) le concours de l’Eurovision de la chanson.

Duncan Laurence, 25 ans, s’est imposé avec Arcade, une balade au tempo lent inspirée par la mort d’un proche. S’accompagnant simplement au piano, il a proposé un titre sobre, comme un contre-pied aux chansons pop dansantes qui emportent habituellement le concours.

Il succède à l’Israélienne Netta Barzilai, qui lui a remis son trophée. « Aux rêves en grand. A la musique d’abord, toujours la musique d’abord », a lancé le chanteur comme s’il portait un toast. Le premier ministre néerlandais Mark Rutte a salué sa « performance sublime et puissante ».

L’Italie termine à la deuxième place avec la chanson Soldi interprétée par Mahmood. Le podium est complété par la Russie avec la chanson Scream de Sergueï Lazarev.

En décrochant cette 64e édition, les Pays-Bas égalent le nombre de victoires remportées par la France. De son côté, Bilal Hassani, le candidat français, et sa chanson Roi, arrivent à la quatorzième place, avec 105 points.

Entre ombre et lumière, vêtu d’une tenue blanche, le chanteur de 19 ans était entouré de deux jeunes danseuses, qui, comme lui, ont souffert de discrimination. L’Américaine Lizzy Howell, obèse, et la Taïwanaise Lin Ching Lang, sourde depuis la naissance, ont souligné par leurs chorégraphies l’hymne à l’acceptation de soi et à la persévérance du chanteur. Mais cette ambitieuse scénographie n’a pas suffi. La France n’a plus remporté l’Eurovision depuis L’Oiseau et l’Enfant interprété par Marie Myriam en 1977.

Lot d’excentricités et de controverses

La cérémonie a offert, comme toujours, son lot d’excentricités avec le retour d’anciennes gloires du concours, parmi lesquelles l’Autrichienne Conchita Wurst, lauréate de l’édition 2014 et le travesti ukrainien Verka Serduchka, dans le même costume extravagant que l’année de sa participation, en 2007.

Israël, qui accueillait pour la troisième fois cet événement international, jouait gros en termes d’image. Début mai, des affrontements entre l’armée israélienne et les factions palestiniennes ont fait une vingtaine de morts. Des militants avaient appelé au boycott de l’émission pour dénoncer l’occupation des territoires palestiniens par Israël. Des associations ont même organisé « Globalvision », un contre-événement musical diffusé en ligne.

En théorie, l’organisateur de l’événement, l’Union européenne de radio-télévision, interdit de présenter tout message de nature politique sur scène. Mais cela n’a pas empêché Madonna et le groupe islandais Hatari de s’exprimer.

A 60 ans, la chanteuse américaine est la deuxième artiste de renommée internationale, après Justin Timberlake en 2016, à s’être produite pendant le concours de chant européen.

Elle a d’abord interprété son tube Like A Prayer, qui fête cette année son 30e anniversaire. Puis, en première mondiale sur scène, elle a dévoilé le titre Future, extrait de son prochain album studio « Madame X », dont la sortie est prévue le 14 juin. La star, qui a vendu 300 millions d’albums dans le monde, était accompagnée pour l’occasion par le rappeur américain Quavo. A la fin de sa prestation, deux de ses danseurs, main dans la main, ont révélé les drapeaux israélien et palestinien qu’ils portaient dans le dos.

Réputé imprévisible, le groupe islandais anticapitaliste Hatari a interprété sa chanson Hatrid mun sigra (La haine triomphera), en tenue de cuir cloutée, dans une scénographie saignante avec roue de fer, chaînes, fumée et effets pyrotechniques. Opposés à l’occupation israélienne des Territoires palestiniens, les artistes se sont distingués au moment de célébrer les votes du public en brandissant des écharpes aux couleurs du drapeau palestinien, suscitant des sifflets dans le public. « Pas de politique ici », a sèchement coupé la présentatrice de la soirée, la mannequin Bar Refaeli.

L’Union européenne de radio-télévision souligne dans un communiqué que la référence politique faite par les danseurs de Madonna ne figurait pas dans les répétitions telles qu’elle les avait approuvées. Quant à Hatari, leurs agissements « contreviennent directement » aux règles du concours, et « les conséquences [en] seront discutées » par la direction de la compétition, précise-t-elle.

Suite à la victoire néerlandaise, la prochaine édition de l’Eurovision se déroulera à Amsterdam en 2020.

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19 mai 2019

Cannes 2019 : "Douleur et gloire", la magnifique confession de Pedro Almodovar en route pour la Palme d'or

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Président du jury du Festival en 2017, après en avoir été membre en 1992, et six fois en compétition, Pedro Almodovar est honoris causa sur la Croisette. Il présentait vendredi 17 mai à cette 72e édition "Douleur et Gloire", la confession bouleversante d’un réalisateur en crise qui a tout le goût d'une Palme d'or.

Douleur et Gloire est le septième film que présente Pedro Almodovar à Cannes sans jamais avoir été récompensé. Le réalisateur madrilène réalise avec cette œuvre ultime un peu son 8 1/2, comme l’avait fait Federico Fellini en 1963 : la confession d’un réalisateur en mal d’inspiration.

Mais là où Il Maestro plongeait son cinéaste dans ses fantasmes pour se ressourcer, Almodovar l’immerge dans les souvenirs afin de trouver l’inspiration.

Entouré de ses acteurs de toujours, Antonio Banderas et Penelope Cruz, accompagné d'autres fidèles comédiens, avec Douleur et Gloire, Almodovar sublime son art.

8 ½ madrilène

Retiré des plateaux de tournage, isolé, perclus de douleurs, Salvador Mallo (Antonio Banderas), réalisateur à succès, se souvient de son enfance au contact de sa mère (Penelope Cruz) et retrouve des amis acteurs perdus de vue depuis plus de trente ans. Ces retrouvailles nostalgiques, mémorielles et concrètes, vont lui offrir la matière de son nouveau film.

"Douleur et gloire est-il un film sur ma vie ? Oui et non absolument" écrit Almodovar en exergue de la bande annonce de son film. Tout est dit. Autofiction à l'instar de 8 ½ de Fellini, son film le dévoile et le dissimule pour en faire une œuvre romanesque achevée, d’une beauté visuelle époustouflante.

Reportage N. Hayter, S. Gorny, V. Bouffartigue, S. Pichavant, C. Labasque

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Fluidité syncopée

Comme beaucoup avant lui, Pedro Almodovar, source le processus de création dans la douleur. Elle est avant tout physique chez son alter ego, Salvador, sujet à des douleurs dorsales, migraines et autres maux qui justifient son absence des plateaux. Le métier de réalisateur requiert des capacités physiques, d’endurance et mentales réelles. Un constat sur lequel s’accordent tous les cinéastes, tant l’engagement est total et les responsabilités lourdes. La nostalgie teintée de mélancolie, dans lesquelles s’épanche Salvador, est une autre douleur, mentale, mais aussi une dynamique qui va le pousser en avant, et peut-être jusqu’à la gloire.

Pedro Almodova filme ce processus créatif avec une inventivité qui sublime la mise en scène stylisée de ses précédents longs métrages. Cadrages, harmonie colorée et graphisme éclatent dans chaque plan, sans se répéter. Il enchaîne les reconstitutions des années 1960 à 80 jusqu’à nos jours en jouant d’un montage syncopé tout en fluidité. C’est dans de tels paradoxes que s’impose un grand cinéaste. Alberto Iglesias, compositeur attitré du réalisateur, parachève une musique qui nourrit la puissance lyrique du film. Elle lui donne sa respiration, avec une diversité de tons et d’orchestrations admirable.

Il reste encore beaucoup de films à voir avant l’annonce du palmarès du 25 mai, et de belles oeuvres peuvent déjà prétendre au trophée ultime. Mais avec le passé cannois d’Almodovar et une telle matière filmique, Douleur et Gloire part en tête des prétendants à la Palme d’or.

19 mai 2019

Eurovision - captures d'écran

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19 mai 2019

"Un homme et une femme" : 50 ans d'amour, trois films, Cannes rend hommage à Claude Lelouch

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Le film culte de Lelouch nait à Deauville en 1966. Une Palme d'or et des chabadabadas... Première suite vingt ans plus tard. Une seconde aujourd'hui, avec toujours le même couple mythique, Anouk Aimée-Jean-Louis Trintignant, attendue hors compétition à Cannes.

A 53 ans d'intervalle, Claude Lelouch a su convaincre ses deux acteurs de revenir à Deauville pour jouer devant ses caméras. Comme autrefois. Dans ce nouveau volet d'Un homme et une femme l’ancien pilote de course, Jean-Louis, se perd un peu sur les chemins de la mémoire. Pour l’aider, son fils Antoine va retrouver Anne, celle qu'il n’a pas su garder mais qu'il évoque sans cesse. Anne va revoir Jean-Louis et reprendre leur histoire où ils l’avaient laissée…

Anouk Aimée et Jean-Louis Trintignant les cheveux au vent, deux visages côte à côte, un duo qui s'impose au cinéma. Sorti en 1966, Un homme et une femme raconte l'histoire fulgurante et passionelle entre deux jeunes veufs inconsolables qui, tour à tour, s'aiment et se repoussent. 

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19 mai 2019

Eurovision - Madonna

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19 mai 2019

Camping car vintage

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