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Jours tranquilles à Paris
29 décembre 2019

Vu sur internet

jaimaca (1)

jaimaca (2)

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29 décembre 2019

Casting (model Kristina) from Kristina on Vimeo.

29 décembre 2019

Sur les trottoirs parisiens

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28 décembre 2019

RAW BEAUTY - ICELAND 2020 from Milo Moiré on Vimeo.

28 décembre 2019

La Ligue russe de hockey féminin a décidé de présenter artistiquement la beauté de ses sportives

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La Ligue russe de hockey féminin a décidé de présenter artistiquement la beauté de ses sportives, habituellement cachées sous des tenues rectangulaires et volumineuses. Elle a sorti un calendrier 2020 dans lequel les joueuses représentent les différents mois de l’année, habillées de costumes de fleurs…

Contrairement aux femmes pratiquant d'autres sports, les joueuses de hockey sont habituellement cachées sous des tenues épaisses, casque volumineux posé sur la tête. Mais voici que la Ligue russe de hockey féminin présente, pour les amateurs de jolies femmes… et de ce sport, une édition spéciale et limitée du calendrier 2020.

Il réunit 12 sportives qui ne se couvrent que de branches, de feuilles et de fleurs.

Douze beautés fleuries

Ces belles femmes, qui représentent sept clubs de la ligue russe, ont ainsi adopté des tenues quelque peu légères, laissant leurs tenues de sport au vestiaire. Lors d’une séance photo sur le thème des fleurs et des fruits, chaque sportive incarnait un mois de l’année, en fonction de son caractère et de son apparence.

Par exemple, Anna Prugova, du club d’Agidel Ufa, incarnait le mois de juillet et rendait hommage au film American Beauty. Elle a été immortalisée allongée sur des roses, couverte de pétales.

Elizaveta Kondakova, du club Tornado de la ville de Dmitrov, dans la partie européenne de la Russie, était à la limite de politiquement correct, partiellement habillée de de fleurs blanches.

Mlle Mars Milena Tretyak, du Dynamo de Saint-Pétersbourg, a opté pour des tulipes pour cacher ses charmes.

Elizaveta Rodnova, du club Agidel, a posé pour novembre, habillée de toutes sortes de baies d'automne.

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28 décembre 2019

Notre Dame de Paris

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28 décembre 2019

Fanny Müller

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28 décembre 2019

Pourquoi vélelles et physalies envahissent les côtes bretonnes

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De nombreuses physalies ont été observées sur des plages du Finistère-Sud. (Le Télégramme)

Des physalies et des vélelles s’échouent sur les côtes finistériennes. Que viennent faire en Bretagne ces animaux qui ressemblent à des méduses sans en être, et vont-ils y rester ?

1 Où vivent les physalies et les vélelles ?

Elles vivent entre les zones subtropicales et tempérées mais sont parfois portées sur nos côtes, où elles s’échouent. Ces deux espèces font partie du zooplancton, ces animaux qui se laissent porter par les courants. De nombreux poissons ou coquillages passent par cette phase, notamment à l’état de larves. Les physalies et les vélelles, reconnaissables à leur couleur bleu métallique, vivent en colonies. Contrairement aux méduses, elles restent en surface. Munies de flotteurs-voiles pour les physalies et d’une petite voile pour les vélelles, elles se déplacent au gré du vent autant que des courants.

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Les vélelles deviennent malodorantes quand elles s’échouent et se décomposent sur les plages. (Photo Olivier Desveaux)

2 Peut-on dire qu’elles envahissent les côtes bretonnes ?

Selon Sébastien Cadiou, directeur du Marinarium de Concarneau, « une espèce invasive désigne une espèce importée dans une niche écologique, qui s’y adapte et entre en concurrence avec d’autres occupants des lieux ». Ce n’est pas le cas des physalies et des vélelles, qui vivent en haute mer. Elles n’ont pas vocation à s’installer sur la côte, puisque s’échouer signifie mourir.

3 Quel est le rôle de ces organismes dans l’environnement ?

Le plancton végétal a un rôle comparable à celui des forêts. Il capture le dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère et relâche de l’oxygène. Ce processus représente la moitié de la production d’oxygène consommée annuellement sur terre. En se nourrissant de plancton végétal, le plancton animal ingère le CO2 et le transforme en carbone solide.

4 Quels sont les risques au contact de ces animaux ?

Les physalies se reconnaissent à leur flotteur, toutefois, le danger réside dans leurs filaments, qui mesurent de 15 à 40 cm, pourvus de harpons toxiques. Si la première piqûre provoque douleur et brûlure, un contact répété peut entraîner la mort. C’est d’ailleurs en étudiant le poison des physalies, au Cap-Vert et aux Açores, que le phénomène extrême de l’allergie, le choc anaphylactique, a été défini en 1902. L’exposition répétée à la toxine entraîne une intolérance parfois fatale. Cette découverte a valu à son codécouvreur, Charles Richet, le prix Nobel de médecine en 1913. Dangereuse quand elle flotte en mer, une physalie morte et échouée reste toxique. Quant aux vélelles, s’il est déconseillé de les toucher, elles sont urticantes sans avoir la virulence des physalies.

5 Doit-on s’attendre à une prolifération dans les années à venir ?

Il n’y en a pas forcément plus qui s’échouent, le phénomène n’est pas nouveau. Selon Sébastien Cadiou, « aucune publication n’existe sur un lien entre les échouages, plus ou moins nombreux selon les années, et le réchauffement climatique. Simplement, notamment avec des arrivées de grandes méduses, le phénomène est plus médiatisé ». Le responsable du Marinarium précise que leur corps étant constitué à 90 % d’eau, les physalies se décomposent vite. Toutefois, on peut les enfouir dans le sable, sans contact manuel, afin de protéger les autres promeneurs. En cas d’échouage massif, les communes ferment les plages afin de ramasser les corps des animaux.

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28 décembre 2019

« La Vérité », le cinéma des sentiments en famille

C’était sans doute une excellente idée de sortir La Vérité de Hirokazu Kore-eda le 25 décembre, jour de Noël, moment potentiellement anxiogène pour tous ceux qui redoutent les sempiternelles querelles autour de la table familiale. Car la confrontation mère-fille dont il est question ici, hérissée de malentendus et de vieilles rancunes, est un formidable antidote à la morosité ambiante : sous couvert de retrouvailles familiales, La Vérité s’avère un réjouissant trompe-l’œil, une mise en abyme du cinéma et de la vie des acteurs.

Catherine Deneuve, Fabienne, interprète en effet une immense actrice au crépuscule de sa carrière. Laquelle reçoit la visite de sa fille Lumir (Juliette Binoche), elle-même scénariste et mariée à un acteur de second plan, Hank (Ethan Hawke). Alors que sa mère vient de publier ses Mémoires, Lumir compte bien épingler dans l’ouvrage quelques contre-vérités. Et régler ses comptes avec cette mère si souvent absente durant son enfance. Fabienne préfère amplement avoir réussi sa carrière plutôt que sa vie de famille. Devant sa mère, Lumir arbore un sourire détaché et conquérant, soucieuse de ne pas montrer ses états d’âme. En retour, sa mère a l’air sarcastique de celle qui n’attend rien, et n’est pas dupe.

Catherine Deneuve donne beaucoup de son vécu à ce charismatique personnage, assumant une certaine autodérision dès les premières minutes du film. D’une justesse diabolique, la star française tient l’un des plus beaux rôles de ces dernières années. Cruel et drôle, le film évite le piège du portrait nostalgique de l’actrice vieillissante. Cl. F.

« La Vérité », film français de Hirokazu Kore-eda. Avec Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Ethan Hawke (1 h 47).

28 décembre 2019

Anna Johansson

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