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Jours tranquilles à Paris

24 février 2019

Moi Magazine

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24 février 2019

SYLVIA GOBBEL + FRANCOIS SAGAT - HADES (CENSORED) - ASVOFF

24 février 2019

La Mairie de Paris dit stop à la Grossophobie à la veille de la Fashion Week

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Par Corinne Jeammet (avec AFP) @Culturebox

La ville de Paris met à l'honneur les femmes plantureuses le temps de l'exposition "Grossophobie, Stop ! Ensemble Réagissons". Son but : "interpeller" contre les discriminations au moment de la semaine du prêt-à-porter féminin automne-hiver 2019-20 qui se tient du 25 février au 5 mars dans la capitale.

Campagne d'information aux Parisien.nes et défilé de mode pour personnes grosses : la Ville de Paris s'attaque à la grossophobie. En décembre 2017, l'événement "Grossophobie, stop ! Ensemble réagissons" dénoncait ce phénomène discriminatoire lié à l'apparence physique. Ainsi lors d'un défilé des modèles non-professionnelles portaient des vêtements de créatrices de différents pays qui avaient imaginé une garde-robe grande taille afin de célébrer la diversité des corps, la beauté de toutes les femmes. Une façon glamour de questionner des normes esthétiques survalorisant la minceur qui constituent une forme de violence à l’égard de celles et ceux qui ne s’y conforment pas.

Une exposition photos en guise de témoignages

Aujourd'hui, une exposition photos de ces femmes rondes fait revivre l'événement. Jusqu'au 9 mars, via 29 panneaux affichés en plein air sur les façades de la Caserne Napoléon des modèles témoignent de ce que ce défilé leur a apporté : chaque photo est accompagnée d'un message du mannequin qui évoque l'influence positive de ce défilé.

Discrimination

"Tout le monde a le droit à la mode", lance Gerrie, professeure d'espagnol et mannequin ronde qui dévoile ses mensurations sur sa carte de visite. Sa photo est affichée sur une façade de la mairie de Paris. "J'en suis sortie renforcée dans ma lutte contre les discriminations", peut-on lire à côté de la photo de Gerrie Palacios Bideau, en robe et escarpins noirs sur le podium. "Je suis grosse, je suis grande, je suis noire (...) J'ai assez souvent senti la discrimination dans ma vie", raconte à l'AFP cette femme de 36 ans, dégoûtée des "conseils" donnés par certains médecins et des gens de son entourage. "Tu devrais faire du sport : j'ai 15 ans de sport de combat derrière moi, je suis judoka ceinture marron... Tu devrais manger moins : c'est souvent quand je mange moins que je stocke le plus...". "Nous ne sommes pas là pour faire l'apologie de notre pathologie mais même en étant obèse, on a besoin de sortir de chez soi, de s'habiller, de s'insérer socialement", poursuit-elle.

L'exposition est organisée par Hélène Bidard, maire-adjointe chargée de l'égalité femmes/hommes et de la lutte contre les discriminations avec pour directeur artistique Vincent Mc Doom, star de la téléréalité et mannequin noir transgenre.

"Ma grand-mère, mes soeurs étaient toutes rondes et se plaignaient tout le temps qu'elles ne pouvaient pas s'habiller, faire ci, faire ça, parce que le regard public les dérangeait, elles se renfermaient sur elles-mêmes et à ce moment-là elles prenaient du poids", raconte à l'AFP Vincent Mc Doom. Mince, il a choisi la grossophobie comme thème de la lutte contre les discriminations, jugeant que les transgenres et les homosexuels étaient déjà bien représentés.

Karl Lagerfeld, comme d'autres stylistes, n'aimait pas les rondes

Sur les podiums, on voit toutes les couleurs de peau, l'âge cesse d'être un tabou mais il est encore rare de voir des mannequins rondes, encore moins à Paris qu'à New York ou à Londres. 

Connu pour son franc-parler, Karl Lagerfeld, la superstar planétaire de la mode, décédé le 19 février, a résumé tout haut ce que d'autres stylistes des grandes maisons laissent entendre quand on les interroge sur le choix des modèles : "Personne n'a envie de voir des femmes rondes sur les podiums". "Ce sont les grosses bonnes femmes assises avec leur paquet de chips devant la télévision qui disent que les mannequins minces sont hideux", ajoutait-il dans une interview au magazine allemand Focus en 2009, propos qui avaient suscité une plainte d'une association de défense des personnes rondes.

Les choses changent grâce à nombreuses "influenceuses" rondes populaires sur les réseaux sociaux, estime Vincent Mc Doom. "Maintenant c'est la mode qui est en retard".

Le mot grossophobie validé par les dictionnaires

Pour Hélène Bidard à l'origine d'une initiative pour faire valider le mot "grossophobie" par les dictionnaires Larousse et Robert (ce qu'elle a obtenu), le milieu de la mode "est en train de bouger, il y a un effet #Metoo dans tous les domaines". "Mais c'est trop lent et on part de très loin, c'est encore très dur d'avoir une diversité", déclare-t-elle. Accusée par des détracteurs de promouvoir l'obésité, elle répond : "nous faisons exactement le contraire. Lutter contre l'obésité ce n'est pas lutter contre les obèses, personne ne choisit de l'être, il faut accompagner ces personnes-là".

24 février 2019

Qui est l'artiste en vogue Coco Capitán ? en mars à la MEP

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Coco Capitán photographe artiste gucci

Fidèle collaboratrice de Gucci, l'artiste et photographe espagnole Coco Capitán est l'un de ses jeunes talents à suivre. Photographe de mode et artiste engagée, la jeune femme véhicule des messages plus inspirants que jamais via ses statements #CocoCapitanWritings. Zoom.

https://www.instagram.com/cococapitan/?hl=fr

http://cococapitan.co.uk/

24 février 2019

Günter Hofstädter "Nude-Art" Photoshooting - Making Of

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24 février 2019

Concorde Art Gallery - Alain Bonnand (Peintre)

Alain Bonnand

Date de naissance: 5 mars 1949 à Crosne 91

Profession: Professeur d'Arts Plastiques, CAPES en 1994. Artiste peintre et dessinateur, retraité.

Formation: Etudiant à l'atelier Met de Penninghen à Paris et à la faculté de Vincennes et dans les ateliers de la ville de Paris.

Travaille et vit à St Cyprien 66750.

Expositions :

2016 - mars. Exposition de groupe Art Fusion à St Estève (66)

- juin-juillet. Exposition avec les Créatif66 à Perpignan.

- août. Exposition de groupe Art Fusion à Alénya (66).

- octobre. Exposition de groupe Art Fusion Parc des expositions à Perpignan .

- Exposition permanente à la boutique So Sexy à Pollestres (66).

2017 - février. Exposition de groupe Art Fusion au Palais des Congrès à Perpignan.

- mai. Exposition de groupe au Casino de Collioure.

- octobre. Exposition de groupe Art Fusion au Parc des expositions à Perpignan.

- Exposition permanente à la Boutique So Sexy à Pollestres 66

2018 - février.Exposition de groupe Art Fusion au Palais des Congrès Perpignan

2018 - juillet aout exposition de groupe aux Créactifs du 66 place Gambetta Perpignan

-Exposition permanente à la boutique So Sexy à Pollestres 66

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23 février 2019

Les « vaches-poubelles », victimes de la « maladie des déchets »

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Par Martine Valo

Fil de fer, plastiques, clous, barbelés abandonnés dans les campagnes se retrouvent dans la panse des ruminants, qui peuvent tomber gravement malades.

Les « vaches-poubelles » : c’est ainsi que l’association Robin des Bois a baptisé le phénomène, qu’elle a entrepris de dénoncer. Les images de corps d’oiseaux de mer à l’estomac farci de débris de plastique ont fait le tour du monde. Le supplice des gros animaux terrestres était jusqu’à présent moins connu.

Dans la panse des ruminants peuvent pourtant s’accumuler morceaux de pneus usagés, fils de fer tordus, clous, morceaux de plastique durs, aiguilles cassées, fils barbelés et de clôture. En cause : les canettes jetées au bord des routes que les troupeaux réduisent en miettes, les restes d’emballages abandonnés dans les fermes, des déchets dispersés dans les pâtures ou qui se glissent dans le foin d’ensilage... En broutant, les vaches les ingèrent et peuvent tomber gravement malades.

Interbev, l’organisation interprofessionnelle du bétail et de la viande, publie sur son site une liste non exhaustive de ces corps étrangers susceptibles de déclencher péritonite, péricardite, abcès, fièvres et troubles du comportement. Selon elle, 60 000 gros bovins sont concernés chaque année par cette « maladie des déchets », comme l’appellent les Américains. A l’abattoir, les carcasses des animaux victimes de tumeurs et d’infections sont partiellement ou entièrement détruites. Ce sont autant de pertes pour les éleveurs.

Une parade : l’aimant stomacal

Manifestement, le problème n’est pas nouveau pour eux. Ils ont imaginé une parade, plutôt rustique, afin d’éviter que les déchets métalliques se déplacent dans l’organisme de la vache et y cause trop de dégâts : l’aimant stomacal.

Il n’est pas difficile d’en acquérir sur Internet, de « très puissants » sous forme de barrettes de 5,5 centimètres, vendues de 4 à 5 euros le lot de douze, ou bien encapsulés dans une « cage » de 10 centimètres à 3 euros l’unité. Le guide poussoir, qui permet d’enfoncer l’aimant vers la panse du ruminant via son tube digestif, coûte dans les 30 euros.

« C’est douloureux, et d’autant plus choquant qu’il faut renouveler ces aimants au bout de quelque temps, assure Jacky Bonnemains, président de Robin des bois. Ce n’est pas une solution : les déchets doivent être sortis de l’environnement. »

L’association écologiste a découvert l’ampleur du problème en travaillant sur la question de la résorption des pneus usagés, qu’une directive européenne interdit désormais de mettre en décharge. Voilà une dizaine d’années qu’elle alerte sur cette pollution dans le monde agricole. Considérés jusqu’en 2015 comme « produits de recyclage », ces déchets ne peuvent plus être vendus en tant que tels. Mais ils servent encore, légalement, à maintenir les bâches qui couvrent l’ensilage, d’abreuvoir, de clôture, voire de combustible pendant les manifestations agricoles.

« Le problème est mondial »

Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), près de 53 millions de pneumatiques toutes catégories confondues ont été vendus en France en 2017, soit 530 600 tonnes, tandis que le marché mondial s’élève à 1,7 milliard de pneus.

La majorité des pneus usagés sont désormais traités, mais il en resterait environ 800 000 tonnes dans les campagnes. Avec le temps, la gomme se désagrège et la ferraille qu’ils contiennent se disperse dans l’environnement.

« Ces derniers jours, nous avons été contactés par un journal sud-africain, une ONG indienne… le problème est mondial », témoigne Jacky Bonnemains. Il cite une étude de l’ONG Recycling Netwerk Benelux estimant que 11 000 à 13 000 vaches souffrent de lésions de l’appareil digestif chaque année à cause des déchets ingérés. Environ 4 000 d’entre elles en meurent.

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23 février 2019

Miley Cyrus rend hommage à Karl Lagerfeld

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Gilets Jaunes acte 15...

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23 février 2019

EXPO PHOTO « THE COLOR WORK » : LA POÉSIE DE LA RUE EN COULEUR PAR VIVIAN MAIER

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Les Douches la Galerie expose « The Color Work » de Vivian Maier du 19 janvier au 30 mars 2019. Vivian Maier photographia inlassablement les rues de Chicago et New York, mais son talent resta anonyme toute sa vie.

Cette exposition de photos en couleur de Vivian Maier est une première en France après la sortie du livre The Color Work de Vivian Maier.

Ce n’est qu’à sa mort en 2009 que son travail est découvert et mis en lumière par John Maloof. La grande passion de Vivian Maier pour la photographie était restée inconnue jusqu’alors : elle passa son enfance avec sa mère entre la France et les Etats-Unis et il semble que ce soit une amie de sa mère, la photographe portraitiste Jeanne Bertrand, qui l’initiera à la photographie.

Plus tard, devenue nourrice, elle profitait de ses moments de liberté pour arpenter les rues avec son Rolleiflex, capturant l’humanité citadine avec poésie, s’inscrivant ainsi dans la lignée de l’histoire de la photographie de rue.

Vivian Maier pris ses premiers clichés en France vers 1949 avec un Kodak Brownie, appareil simple destiné à l’amateur. Elle retourne aux États-Unis en 1951 où elle devint nourrice et travailla pour une famille à Southampton, dans la banlieue de New York. Elle achète en 1952 son Rolleiflex, appareil moyen format couramment utilisé par les photographes de l’époque. La photographie prend alors une part de plus en plus importante de sa vie. Quittant New York pour Chicago en 1956, elle entre au service de la famille Gensburg. Elle y élève leurs trois enfants et utilise sa salle de bains pour y développer ses films.

Débute alors la période la plus prolifique de l’oeuvre de Maier.

En 1973, Maier quitte cette famille et ne peut plus développer elle-même ses films. Travaillant de famille en famille, elle emporte avec elle de plus en plus de pellicules non développées et de photos non tirées. À la fin des années 1970, Maier a cessé d’utiliser son Rolleiflex. La plupart de ses photographies prises dans les années 1980 et 1990 étaient des couleurs transparentes, prises sur un film Ektachrome. Ces pellicules resteront également non développés, tant ses soucis financiers deviennent importants. Elle stocke alors ses négatifs, pellicules et documents dans un storage.

Au début des années 2000, les enfants Gensburg la prennent en charge et la logent dans un petit studio. Ses affaires sont oubliées jusqu’à ce qu’elles se retrouvent en 2007 dans une vente aux enchères pour impayés, sans qu’elle le sache. Et c’est durant cette vente aux enchères que John Maloof découvre son travail, sans arriver à retrouver leur auteur, jusqu’à la mort de Vivian Maier en 2009.

William Meyers écrit dans le Wall Street Journal que parce que Maier utilisait un Rolleiflex moyen format plutôt qu’un appareil photo 35 mm, ses images sont plus détaillées que celles de la plupart des photographes de rue. Il écrit que son travail rappelle les photographies de Harry Callahan, de Garry Winogrand et de Weegee, ainsi que de Robert Frank. Il note également qu’il y a beaucoup d’autoportraits dans son travail, « dans de nombreuses permutations ingénieuses, comme si elle vérifiait sa propre identité ou s’interpolait dans l’environnement. Elle a souvent photographié sa propre ombre, elle-même. éventuellement comme un moyen d’être là et simultanément pas tout à fait là-bas.  »

Roberta Smith elle, écrivant dans le New York Times, a attiré l’attention sur le fait que les photographies de Maier rappellent de nombreux photographes célèbres du XXe siècle, tout en possédant une esthétique qui leur est propre. Elle écrit que le travail de Maier « peut ajouter à l’histoire de la photographie de rue du XXe siècle en le résumant avec une minutie presque encyclopédique, en se rapprochant de presque tous les photographes connus, dont Weegee, Robert Frank et Richard Avedon. Puis son travail glisse dans une autre direction, tout en maintenant un élément distinctif de calme, une composition claire et une douceur caractérisée par une absence de mouvement soudain ou une émotion extrême.  »

Informations pratiques

Exposition jusqu'au 30 mars 2019

Les Douches la Galerie

5, rue Legouvé 75010 Paris

lesdoucheslagalerie.com

Du mercredi au samedi, de 14h à 19h

Entrée libre

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