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Jours tranquilles à Paris

18 janvier 2019

Gilets Jaunes

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18 janvier 2019

Fondation Helmut Newton

BERLIN

Dénudé pour l'hiver

Toujours remarquée pour la qualité de ses expositions, la Fondation Helmut Newton réunit pour la première fois sur le thème du nu trois grands noms. David Lynch, Saul Leiter et bien sûr Newton, incontournable sur le sujet, se partagent les galeries du musée, avec quantité de photographies inédites, sublimant le corps de la femme. Jusqu'au 19 mai.

www.helmutnewton.com

18 janvier 2019

Presse - Lou Doillon

inrock22

18 janvier 2019

Dita von Teese

dita

18 janvier 2019

Extrait d'un shooting

DSC_1856-ANIMATION

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18 janvier 2019

La Côte sauvage - presqu’île de Quiberon

cote sauvage

18 janvier 2019

LILY ST CYR, CELLE QUI INSPIRA LE CRAZY HORSE SALOON

Lili St-Cyr, de son vrai nom Marie Frances Van Schaack, née à Minneapolis le 3 juin 19171,2 et morte à Los Angeles le 29 janvier1999, est une actrice américaine qui était considérée comme la reine du striptease.

Lili St-Cyr a commencé sa carrière comme fille de club à Las Vegas. À partir de 1944, elle s’installe à Montréal et tient l’affiche de plusieurs cabarets montréalais mais elle est surtout identifiée au Théâtre Gayety. Elle fera de nombreux séjours à Montréal jusqu’en 1951. Le français Alain Bernardin fonde le Crazy Horse Saloon à Paris en 1951 après avoir vu le spectacle de Lili St-Cyr au Gayety.

La législation, à cette époque, au Canada et aux États-Unis, interdisait aux danseuses de quitter la scène avec moins de vêtements qu’à leur arrivée. Lili St-Cyr a contourné cette loi en concevant un numéro où elle se présentait nue dans sa baignoire pleine de bulles. Son spectacle consistait en un lent rhabillage progressif.

Les membres du clergé du Québec poursuivent Lili St-Cyr au début des années 1950 mais ils n’ont pu condamner le spectacle et elle fut acquittée. Elle fut une grande vedette à Montréal à la fois pour l’originalité de son numéro mais aussi par le nombre imposant d’articles dans les journaux à potins de l’époque. Elle fut donc célèbre, ses spectacles au Théâtre Gayety étaient courus et elle touchait jusqu’à 5 000 dollars par semaine, cachet faramineux pour l’époque.

Pendant son séjour à Montréal, elle a eu plusieurs relations tumultueuses (dont une avec le journaliste montréalais Al Palmer). Mais sa plus célèbre relation demeure celle avec l’ancien joueur de hockey des Red Wings de Détroit, Jimmy Orlando, qui était devenu à la fin des années 1940 gérant du cabaret montréalais El Morocco. Elle fut la reine de Montréal de 1944 à 1951. Elle y reviendra beaucoup plus tard de 1965 à 1967 pour y découvrir une ville très différente de celle des années 1940.

Lili St-Cyr joue dans plusieurs films mais elle n’a jamais été reconnue comme actrice.

En 1955, avec l’aide d’Howard Hughes, elle a eu son premier rôle important au cinéma en jouant dans le film Le Fils de Sinbad. Le film a été condamné par les militants catholiques. Lili St-Cyr a aussi eu un rôle dans le film de Norman Mailer Les Nus et les Morts, en 1958. Dans ce film, elle joue Jersey Lili, une strip-teaseuse dans un night-club d’Honolulu et une copine d’un soldat qui se vante à ses amis qu’il a peint son tableau dans son sous-sol. Mais sa carrière a été de courte durée, et elle a joué des rôles secondaires en tant que strip-teaseuse. On fait aussi référence à elle dans le film The Rocky Horror Picture Show où l’une des héroïnes dit « God bless Lily St-Cyr ».

Lili St-Cyr est également connue pour ses photographies de pin-up, surtout pour les photos prises par Bruno Bernard, connu professionnellement comme « Bernard de Hollywood », le premier photographe glamour d’Hollywood.

En 1982 elle publie son autobiographie en français : Ma vie de stripteaseuse aux Édition Quebecor. Dans ce livre elle parle de son amour particulier pour Montréal : La ville nous transmettait (mes amis et moi) un virus incurable d’admiration pour elle. Nous aimions la ville plus que beaucoup de Montréalais, Nous comprenions tous que Montréal était un joyau qui n’avait pas son pareil ailleurs dans le monde. Elle dit aussi qu’une promenade en calèche (en été) ou en carriole (en hiver) sur le mont-Royal est vraiment l’activité la plus romantique sur la terre entière.

18 janvier 2019

Rue Crémieux - Paris

rue cremieux

18 janvier 2019

Pigalle

pigalle

18 janvier 2019

Alexandre Benalla en garde à vue dans l’enquête sur ses passeports diplomatiques

L’enquête a par ailleurs été étendue aux infractions de « faux » et « usage de faux » après un signalement de la présidence de la République.

Alexandre Benalla a été placé en garde à vue, jeudi 17 janvier au matin, dans l’enquête sur l’utilisation de ses passeports diplomatiques après son licenciement de l’Elysée cet été, a fait savoir le parquet de Paris, confirmant une information du Parisien.

Cette enquête, ouverte le 29 décembre, notamment pour « abus de confiance », « usage sans droit d’un document justificatif d’une qualité professionnelle » et « exercice d’une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique », a par ailleurs été étendue mercredi 16 janvier aux infractions de « faux », « usage de faux » et « obtention indue d’un document administratif » après un signalement de la présidence de la République, a précisé le parquet.

L’ancien collaborateur du président Emmanuel Macron a déjà été à l’origine d’une tempête politique cet été, après avoir été identifié sur des vidéos en train d’interpeller violemment des manifestants à Paris le 1er mai 2018, alors qu’il était présent aux côtés des forces de l’ordre en qualité d’« observateur ». Pour ces faits, il a été mis en examen à deux reprises.

Soupçons de falsification

L’affaire Benalla avait rebondi en décembre, après les révélations de Mediapart et du Monde selon lesquelles l’ancien collaborateur de l’Elysée disposait toujours de passeports diplomatiques malgré son licenciement et qu’il effectuait des voyages d’affaires auprès de dirigeants africains. Ces informations ont conduit à l’ouverture d’une nouvelle enquête préliminaire fin décembre, et à la reprise des travaux de la commission du Sénat enquêtant sur cette affaire depuis juillet.

Mercredi, devant cette commission, le directeur du cabinet du président de la République, Patrick Strzoda, a affirmé qu’après son licenciement de l’Elysée M. Benalla avait utilisé une vingtaine de fois des passeports diplomatiques, entre le 1er août et le 31 décembre 2018.

M. Strzoda a également fait savoir que M. Benalla avait été en possession de deux passeports de service, le premier délivré en 2016, « bien avant » son arrivée à l’Elysée, le deuxième le 28 juin 2018. Tous deux ont été invalidés le 31 juillet 2018.

Le directeur du cabinet de M. Macron a ajouté que la demande du second passeport de service avait été faite par Alexandre Benalla au ministère de l’intérieur par une lettre à en-tête du chef de cabinet de l’Elysée, mais « dactylographiée » et non signée. En clair, « nous soupçonnons une falsification faite par M. Benalla », a affirmé M. Strzoda, avant de préciser que la justice avait été saisie.

Ces déclarations contredisent l’affirmation, faite par Alexandre Benalla lors de sa propre audition sous serment le 19 septembre, selon laquelle il avait laissé dans son bureau de l’Elysée les passeports diplomatiques après son limogeage. L’ancien chargé de mission doit être entendu à nouveau par la commission d’enquête du Sénat lundi 21 janvier.

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