Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

30 mai 2019

Emily Ratajkowski pour Treats Magazine

emily treats (1)

emily treats (2)

emily treats (3)

emily treats (4)

emily treats (5)

Publicité
30 mai 2019

Blacktapeproject

blackpaper55

29 mai 2019

Milo Moiré en Islande

Traduction automatique - L'Islande est si belle mais le BlueLagoon ISLAND  EST UN ABSOLU PAS DE GO !!! Même si ça a l'air si beau ne va jamais au lagon bleu. 🚫👎🏼 je vais vous dire pourquoi !
La femme manager m'a dit : "pour moi tu es nu, tu dois te couvrir". sérieusement ? Prends encore un coup d'oeil à la photo, tu vois une femme nue ???? 🤔 lol
Elle a essayé de me forcer à me couvrir ou même à changer mon maillot de bain. Au moins, elle était si désespérée qu'elle a menacé d'appeler la police. 😅🚨Unfortunately pour elle, elle a choisi la mauvaise dame à chicane !!! Je suis milo moiré, la personnification de la liberté et de l'autodétermination chère Madame ! 💛
Chères Dames, s'il vous plaît, restez en confiance, peu importe à quel point certaines personnes essaient de vous traiter. 🤘🏼
Comment une "Grande Entreprise européenne" peut-elle être gérée par une telle vision misogyne du monde ? De plus, il y a beaucoup de soi-disant nageurs-SAUVETEURS PARTOUT ! À mon avis, ils agissent beaucoup plus en tant qu'exécuteur morale alors que les gardiens de la vie. 🧐 par exemple, ils interdisent à un groupe d'asiatiques de parler à voix haute et de se taire. Oh mon Dieu 🤦🏻 ♀️
Tu te sens comme une jolie prison en bleu. Le #Bluelagoon en Islande est prude, hors de prix, totalitaire supervisé par une gestion hostile. Rien pour une femme moderne sexy et confiante ! Cependant, il y a de meilleurs endroits en Islande pour passer votre temps précieux. Bisou, Milo 😘

milo islande22

Photo : @Peterpalm.Ppp (pas de pub) 😉 #bleu

29 mai 2019

On a sauté de la tour Eiffel en tyrolienne

29 mai 2019

Sur la plage abandonnée...

IMG_7478

IMG_7479

IMG_7480

IMG_7481

IMG_7482

Publicité
29 mai 2019

Critique - « Rocketman » : Elton John, juste pour la musique

elton

Par Thomas Sotinel

Le biopic sans génie, consacré au musicien, doit surtout sa force à une BO qui donne envie de réécouter ses chansons.

L’AVIS DU « MONDE » – POURQUOI PAS

Mis à part le duel des westerns de la grande époque, il n’y a pas de moment plus inévitable au cinéma que celui qui voit, aux deux tiers d’une biographie filmée, une rockstar simultanément au sommet de sa gloire et au comble de la déchéance physique et morale. Johnny Cash, Ray Charles, Jim Morrison, Freddie Mercury y sont passés. Elton John ne pouvait y couper et Rocketman, malgré ses embardées imaginaires, observe rigoureusement les commandements du biopic : tu susciteras l’envie en peignant le succès, la gloire et l’argent ; tu consoleras les envieux en fixant le prix astronomique de la rançon de la réussite – toxicomanie, solitude…

TARON EGERTON DÉPLOIE UNE ADMIRABLE ÉNERGIE POUR ESSAYER DE PRÊTER UN PEU DE SON CHARME À LA MOINS SENSUELLE DES STARS DE L’HISTOIRE DU ROCK’N’ROLL
Pour briser cette monotonie, le scénario de Lee Hall (auteur de celui de Billy Elliot) fractionne la carrière d’Elton John, commençant par son entrée fracassante dans un établissement de désintoxication. Elle servira de point fixe à un récit saucissonnant les épisodes de l’ascension du musicien, de son enfance malheureuse (papa est indifférent, maman volage) à son accession au statut de superstar planétaire. Ce chemin est jalonné de numéros musicaux parfois charmants, qui recourent au best of du catalogue d’Elton John et Bernie Taupin (son parolier) pour éclairer ce lointain passé. Ses débuts de pianiste de pub, à l’orée des années 1960, se font aux accents de Saturday Night’s Alright for Fighting, sur une chorégraphie qui emprunte allègrement à Bollywood.

Si seulement cette liberté créative s’était communiquée au dessin des personnages, à la mise en scène de leurs relations… Certes, Rocketman restera comme le premier long-métrage financé et distribué par une major américaine (Paramount) dans lequel on peut voir deux hommes faisant l’amour – en l’occurrence Elton John (Taron Egerton) et John Reid (Richard Madden), le manageur du musicien. Taron Egerton déploie une admirable énergie pour essayer de prêter un peu de son charme à la moins sensuelle des stars de l’histoire du rock’n’roll.

Mais le mystère d’Elton John réside ailleurs que dans sa sexualité (il fut l’une des premières célébrités planétaires à affirmer ouvertement son homosexualité, en 1976) ou dans sa propension aux addictions. Il se trouve dans l’œuvre extraordinaire qu’il a bâtie en une décennie (les années 1970) avec Bernie Taupin (Jamie Bell). Rocketman doit sa force à ces chansons, qui dès qu’on les entend font oublier la banalité de ce qui les amène.

Incroyable facilité de l’artiste

Mais quand le film aborde la collaboration qui a permis à Bernie Taupin de mettre des mots sur l’autoportrait en musique qu’a dessiné Elton John d’album en album (jusqu’à Captain Fantastic and the Brown Dirt Cowboy, en 1975), il ne montre rien d’autre que des scènes célébrant l’incroyable facilité du pianiste et chanteur.

On se reportera à l’abondante littérature qu’a suscitée la carrière de l’auteur de Goodbye Yellow Brick Road (1973) pour corriger les approximations du scénario, aux enregistrements pour remettre de l’ordre dans la chronologie des chansons. On se livrera à ce travail parce que Rocketman aura donné envie de se replonger dans la musique d’Elton John, ce qui lui vaut, sinon l’absolution, du moins de l’indulgence.

Film américain et britannique de Dexter Fletcher. Avec Taron Egerton, Jamie Bell, Richard Madden, Bryce Dallas Howard (2 h 01).

29 mai 2019

Au restaurant à Arles

téléchargement

Photo prise avec ma Nikon KeyMission 170.

29 mai 2019

Critique - Isabelle Huppert, reine d’Ecosse et du théâtre

Par Brigitte Salino

A l’Espace Pierre-Cardin, à Paris, la comédienne, dirigée par Bob Wilson, joue Marie Stuart à la veille de son exécution.

S’il ne devait rester qu’une image de Mary Said What She Said (Mary a dit ce qu’elle a dit), ce serait celle qu’Isabelle Huppert trace dans le troisième acte du spectacle mis en scène par Bob Wilson à l’Espace Pierre-Cardin – et joué en français, contrairement à ce que pourrait laisser entendre son titre. Cette diagonale est une folie de par son rythme, sa gestuelle et sa durée. Isabelle Huppert, qui joue Marie reine d’Ecosse à la veille de son exécution, traverse le plateau d’avant en arrière, sans jamais se retourner.

Sa tête se tient haute, comme coupée de sa gorge par une collerette qui contraste avec la blancheur de la chair. Sa silhouette fine strie l’espace, qu’elle semble déchirer, comme son bras gauche qui, par à-coups, s’écarte de son corps. Ses ongles sont noirs, ses lèvres sombres disent : « Je méprise la mort. » Et elle va, vient, revient, courant sur cette diagonale, « pulsée » par la musique de Ludovico Einaudi et les lumières de Bob Wilson.

Combien de temps cela dure-t-il ? Peu importe, au fond. Mais assez, en tout cas, pour que l’on se demande comment Isabelle Huppert tient, physiquement et mentalement. Question inutile, sans doute : on sait la comédienne capable de tout, mais là elle atteint un sommet, en montrant qu’une diagonale peut nous mener à l’extase.

Pour Bob Wilson, ce n’est pas rien de diriger Isabelle Huppert à l’Espace Pierre-Cardin, où il n’était pas revenu depuis qu’il y avait présenté son premier spectacle en France, Le Regard du sourd. C’était en 1971, et l’onde de choc fut si grande que Louis Aragon adressa une lettre à feu son ami André Breton, par-delà la mort : « Ecoute, André, ce que je dis à ceux qui ont l’oreille pour l’inouï : de toute ma vie, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. »

Depuis, Bob Wilson a travaillé par le monde, en infatigable globe-trotter, mais c’est en France qu’il a fait le plus de spectacles. Dont deux avec Isabelle Huppert : le premier en 1993, Orlando, sur un texte de Darryl Pinckney, l’auteur de Mary Said What She Said ; le deuxième en 2006, Quartett, de Heiner Müller. Ces spectacles ont été présentés à l’Odéon – Théâtre de l’Europe. Mary Said What She Said est créé à l’Espace Pierre-Cardin, où le Théâtre de la Ville a trouvé refuge en attendant que soient effectués des travaux dans la salle de la place du Châtelet.

L’Espace Pierre-Cardin a un défaut, qui grève en partie le spectacle : malgré la compétence des techniciens, le son n’est pas à la hauteur. On dirait qu’il a un cheveu sur la langue, pour s’exprimer comme on l’entend.

Dans l’intimité d’une femme

En revanche, la jauge (670 places), moyenne, confère à la salle un côté « théâtre de chambre » qui s’accorde bien au propos : avec Mary Said What She Said, il s’agit d’entrer dans l’intimité d’une femme, et pas n’importe laquelle, Marie Stuart (1542-1587), au destin malheureux, couronnée à un an reine d’Ecosse, élevée en France où elle est mariée à 15 ans à François II, reine de France jusqu’à la mort de ce dernier, deux ans plus tard, et prétendante au trône d’Angleterre occupé par Elisabeth 1re. La suite, à partir de son retour en Ecosse, en 1561, est un enchaînement de mariages, de liaisons et de complots, qui mènent Marie à perdre son trône et à vivre prisonnière pendant dix-huit ans, avant d’être condamnée à mort et exécutée le 8 février 1587.

CETTE HISTOIRE, DARRYL PINCKNEY LA TAILLE COMME UN CRISTAL QUI RENVOIE DES ÉCLATS SUR DES MOMENTS DE LA VIE DE MARIE STUART


Cette histoire, Darryl Pinckney la taille comme un cristal qui renvoie des éclats sur des moments de la vie de Marie Stuart. Dense et baroque, son texte n’est pas évident à comprendre. Mais on peut l’entendre comme le livret d’un opéra, d’une certaine manière : la représentation de Mary Said What She Said magnifie le formalisme d’un art de la scène où le jeu, la lumière et la musique sont intrinsèquement liés. D’abord, il y a l’espace, que Bob Wilson traite comme une architecture. Aucun décor, quasiment pas d’accessoires, mais en fond de plateau un cyclorama, ce rideau qui toujours chez Bob Wilson ouvre un horizon là où d’ordinaire il se ferme.

Et là, sur ce cyclorama, il se passe quelque chose d’inouï. Le visionnaire texan, qui fêtera en octobre ses 78 ans, a toujours accordé un soin particulier aux lumières, dont il se charge lui-même. Dans Mary Said What She Said, il rompt avec les teintes nettes, tranchées et fortement colorées qui signent sa marque de fabrication, et il déploie une infinité de variations évoquant un ciel d’Ecosse, où les gris, jaunes, marrons, rouges et bleus se mêlent sous le vent, variant d’un instant à l’autre. On reste cloué sur son fauteuil face à ces paysages de lumières qui pourraient être d’un peintre et rendent compte du paysage mental d’une femme au bord de la mort.

Des yeux qui ne cillent jamais

Cette femme, qui se souvient de la danse apprise en France, du corps de ses amants, des batailles perdues, des châteaux vérolés d’humidité, de ses trois servantes, qui toutes s’appelaient Marie, et de son fils unique, qu’elle n’a jamais vu marcher, cette femme, donc, c’est Isabelle Huppert, vêtue d’une robe longue qui n’est pas rouge, comme celle que Marie Stuart décida de porter pour son exécution, mais marron avec des filets d’or. Retenus en chignon, et séparés en deux bandeaux, ses cheveux auburn encadrent son visage de nacre où les yeux semblent plus grands qu’en réalité. Ces yeux, qui ne cillent jamais, voient ce qui attend Marie, le billot noir, et le bourreau, qui devra s’y reprendre à trois fois pour la décapiter.

LA GESTUELLE SI PARTICULIÈRE DE BOB WILSON REND CHAQUE PARTIE DU CORPS AUTONOME
« J’étais capable de cruauté », dit Mary quand son visage apparaît dans la lumière. Au début du spectacle, ce visage n’est qu’une ombre, comme tout le corps d’Isabelle Huppert, immobile : une femme dans la nuit, dont on ne sait, à certains moments, si elle est de dos ou de face, tant Bob Wilson manie l’illusion. Une femme qui nous dit : « Nous avons commencé le voyage », et dont les premières lueurs apparaissent sur son visage quand elle se revoit jeune : « J’étais si belle. » Ce premier acte de Mary Said What She Said est placé sous le signe de la ligne droite que dessine Isabelle Huppert sur le plateau.

Dans le deuxième, c’est la ligne courbe qui domine. Et dans le troisième, c’est la diagonale. Avec, toujours, cette gestuelle si particulière de Bob Wilson, qui rend chaque partie du corps autonome. Avec la musique de Ludovico Einaudi, répétitive et entêtante. Avec la voix d’Isabelle Huppert, nerveuse, stridente, étale, haineuse, amoureuse, déchirée ou révoltée, selon les moments. Avec ces lumières qui accompagnent la comédienne dont la maîtrise n’a d’égale que son abandon. Comment ne pas être ému par Isabelle Huppert ?

Mary Said What She Said (Mary a dit ce qu’elle a dit), de Darryl Pinckney. Mise en scène : Robert Wilson. Musique : Ludovico Einaudi. Avec Isabelle Huppert. Théâtre de la Ville – Espace Pierre-Cardin, 1, avenue Gabriel, Paris 8e. Mo : Concorde. Tél. : 01-42-74-22-77. Du mardi au samedi, à 20 heures ; dimanche à 16 heures. De 18 € à 36 €. Durée : 1 h 30. Jusqu’au 6 juillet.

29 mai 2019

1985 - En ce temps là Christo emballait le Pont Neuf

christo

Le 22 septembre 1985, Christo emballe le Pont-Neuf

Le projet du Pont-Neuf, long de 140 m et large de 20,5 mètres, remonte au milieu des années 70. Il a nécessité 40 000 m2 de toile -qui change d'aspect selon le niveau du soleil dans le ciel- 12 tonnes de câbles d'acier, l'intervention de 300 professionnels spécialisés dirigés par 12 ingénieurs. L'œuvre est présentée aux regards des spectateurs quatorze jours. L'artiste veut offrir un regard neuf sur le plus ancien pont de Paris.

29 mai 2019

Moi Magazine

moi19

moi20

moi21

moi22

moi23

moi24

moi25

Publicité
Publicité