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Jours tranquilles à Paris
31 janvier 2020

Lionel Daviet à la Concorde Art Gallery

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Photographe

Lionel Daviet découvre très tôt la magie du développement photos avec le labo de son père, installé dans le garage familial.

Il rejoint ensuite un collectif d'artistes avec lequel il présente ses premières expositions.

Après différentes expériences professionnelles, notamment dans l'univers de la mode, où il côtoie les studios photos et les agences de mannequins, il fait ses premières armes en tant que photographe en réalisant une série de reportages pour un groupe touristique. A son retour, il est contacté par un magazine de mode pour lequel il réalise ses premiers éditos avant de rejoindre un studio Genevois où il va se spécialiser dans la retouche photos en travaillant pour les grandes marques Suisse d'horlogerie et de joaillerie, mais aussi, dans la cosmétique et la publicité.

En parallèle a son travail au sein du studio, il publie en 2015 aux éditions Schnoek, en collaboration avec Charlène Perillat, le livre « It Bag », regroupant une centaine de diptyques de personnes dévoilant leur intimité : le contenu de leur sac et eux, nus, dans leur environnement. Il collabore aujourd'hui avec plusieurs magazines, dont le Magazine King, en publiant des séries de nus dans des mises en scène pop, plaçant la nudité sublimée par des décors rappelant la Californie des années 70.

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31 janvier 2020

Du plaisir de partir tout seul en vacances

« Ce qui pouvait être absolument déprimant produisit l’effet inverse sur ma santé​, contrairement à tout ce qu’on dit d’ordinaire sur la solitude. »

Par Marc-Aurèle Baly

La perspective de partir en vacances a toujours été pour moi source d’anxiété. Sans doute car j’ai toujours abordé ce passage obligé soit avec ma famille, une bande de potes ou bien ma copine du moment, et que l’entreprise s’est immanquablement révélée être un prétexte pour m’engueuler à propos de sujets aussi réjouissants que la thune, la bouffe, les activités en plein air ou encore mon prétendu « égoïsme ». Ce qui revient, je pense, à dénaturer complètement la philosophie du plaisir et du délassement que l’on associe d’ordinaire aux doigts de pieds en éventail et aux petits plongeons dans l’eau.

Pour toutes ces raisons, et pour d’autres un peu moins calculées (un manque d’argent criant et la perte de mes papiers qui m’empêchaient de partir à l’étranger), j’ai décidé, un peu sur un coup de tête, de partir tout seul. J’ai choisi Belle-Île-en-Mer, parce que c’est une île, que je suis moi-même une île, et parce que ça me regarde après tout.

Juste avant de décamper de la vie citadine, j’ai fait face à deux réactions typiques : « Je pourrais jamais faire ce que tu fais, quel courage », ainsi qu’une moue circonspecte, un mélange de pitié et de férocité dans le regard, comme si je subissais tout ce que je faisais, ou que j’étais dans le déni du désert insondable qu’est ma vie en sortant une excuse bidon de type « je suis une célibattante épanouie ».

La peur d’être seul

Le seul fait de voir ne serait-ce qu’une once d’extravagance ou d’héroïsme dans le fait de partir seul pendant une semaine dans le cul de la Bretagne montre bien que je ne traine qu’avec des gens qui ont une peur panique du vide - ou juste que j’habite à Paris. La solitude des grandes villes, ça a été prouvé et documenté maintes fois, ne réside pas tant dans la peur d’être seul que dans le fait de se sentir seul au milieu de millions de personnes. Personnellement, c’est toujours quand je suis entouré de gens que je me sens le plus isolé. Par exemple dans le métro bondé le matin, lorsque je me retrouve entouré de regards fuyants et d’enfants en surpoids, ou bien dans les lieux de socialisation comme les warehouses en deep banlieue, en particulier au moment où la lumière se rallume pour recracher cette somme d’individus uniformes qui suintent le dégoût de soi et des autres.

Qu’allais-je donc essayer de prouver en partant ainsi seul pour la première fois ? Que j’en avais dans le pantalon ? Que j’allais en sortir grandi ? Que l’expérience précèderait l’essence ? Calmons-nous, on était tout de même loin des ambitions de Thoreau parti se terrer au fond d’une cabane dans les bois pendant deux ans et qui écrivait dans Walden : « Je gagnai les bois parce que je voulais vivre suivant mûre réflexion, n’affronter que les actes essentiels de la vie, et voir si je ne pourrais apprendre ce qu’elle avait à enseigner, non pas, quand je viendrais à mourir, découvrir que je n’avais pas vécu. »

De toute façon, en arrivant dans l’île aux plaisirs, toutes mes velléités transcendantalistes se sont trouvées balayées d’un revers de main. Ou plutôt d’un coup de vent, glacial, sur le port du Palais, où je me retrouvais planté là comme un con, après avoir voyagé en ferry pendant près de 45 minutes, m’être rendu compte que je n’aurais pas de réseau pendant une semaine, pas de wifi dans le petit studio que j’avais loué pour une somme presque modique, et que de toute façon la propriétaire était injoignable. Bref, assez pour me provoquer une petite coulée d’effroi dans le bas du dos d’entrée de jeu. Peur panique qui serait exacerbée le soir même par une terreur nocturne sans justification aucune, alors même que ma chambre donnait sur un petit port de plaisance tout ce qu’il y a de plus charmant.

Signe évident que ma petite entreprise ne consistait pas tant à me retirer du monde qu’à obéir à une certaine pulsion de mort, le seul livre que j’avais jugé bon d’emporter avec moi étant un recueil de Cioran. Rien de tel que de lire des aphorismes de type « la conscience est bien plus que l'écharde, elle est le poignard dans la chair » au bord d’une falaise avant de se jeter à l’eau. Plouf.

Extrait d'une journée virile

Ce côté antichambre de la mort n’était pas seulement prégnant à cause de mon état pré-suicidaire, mais parce que la seule population de Belle-Île à cette époque de l’année (j’ai eu la riche idée de partir « hors-saison » afin de ne croiser personne) se trouvait être composée quasi exclusivement de vieux. Vieux qui, s’ils ne me posent pas nécessairement de problème en temps normal (sauf peut-être quand ils se rangent sur le côté gauche de l’escalator ou qu’ils s’échinent de manière générale à ne pas crever) ne faisaient à ce moment-là que mettre en exergue ma propre mortalité. Ça plus le fait que je ne recherchais à ce moment-là que de la tranquillité, les bienfaits de la nature et le bruit des vagues comme seule pollution sonore accentuaient l’idée qu’en outre, je sois peut-être tout simplement devenu un prototype de chiantise. Ce qui est au moins aussi effrayant.

Bien évidemment, après une ou deux journées passées à me morfondre et à me demander ce que j'allais bien pouvoir faire de moi, une certaine routine mêlée d’un confort pas si désagréable en bouche se mettait en place. Mes journées se déroulaient et se ressemblaient un peu toutes, lesquelles consistaient à pédaler sur mon vélo comme un cinglé, dénicher une plage sauvage (toutes essentiellement vides), bouquiner quelques instants le livre d’un écrivain misanthrope roumain de compétition, puis végéter sur ma serviette en attendant que la journée se termine en pensant vaguement à ma vie.

Enfin, la nuit tombée, rentrer chez moi, me balader le long du port en ayant l’air d’un creep, pour finir par m’endormir comme une masse avec la perspective de passer une nuit sans rêve. Ce qui pouvait être absolument déprimant produisit l’effet inverse sur ma santé, contrairement à tout ce qu’on dit d’ordinaire sur la solitude - à savoir que cette dernière favoriserait, au choix : des maladies cardio-vasculaires, une inflammation chronique, une dépression, puis, inévitablement, la mort.

Au lieu de ça, quelque chose d’assez inattendu se produisit. Je commençais à ne plus avoir 15 pensées qui se battent en même temps dans ma tête, je comprenais enfin ce que je lisais en n’ayant plus besoin de relire plusieurs fois la même phrase, et je me rendais même au restaurant seul, sans ressentir l’envie impérieuse de dégainer mon téléphone toutes les cinq secondes pour combler le vide de l’existence. C’est comme si on m’enlevait une par une chaque couche de mon hostilité pour me retrouver déplumé comme un oiseau qui entame sa mue.

Ce qui n’est pas si surprenant en soi. Dans son essai Solitude Volontaire, le philosophe Olivier Remaud écrit que « la solitude est aussi nécessaire à la société que le silence au langage, l’air aux poumons et la nourriture au corps ». Pour moi, ça s'est effectivement apparenté à un moment de respiration, mais plutôt la respiration d’un asthmatique qui vient de courir un sprint et qui a tout le mal du monde à reprendre son souffle. Ou celle du nageur qui sort la tête hors de l'eau après avoir fait de l'apnée trop longtemps. Et pile au moment où mes perles de stress s'achevaient de couler le long de mon flanc, où je commençais enfin à m'acclimater pour de bon à cet état semi-végétatif (appelez ça de la sagesse si vous voulez) qui n'a rien de naturel chez moi, commençait à germer une autre pensée dans un coin de ma tête, laquelle se mit à trottiner lentement mais sûrement en direction de mon état de béatitude benêt : « Ça aurait quand même été pas mal de faire tout ça avec quelqu’un ». Plouf.

Marc-Aurèle Baly est vaguement sur Twitter.

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31 janvier 2020

BREXIT - Presse

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31 janvier 2020

Paris Match

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Il y a du panache dans ce regard d’ébène. Lorsque Rachida Dati s’engage dans la bataille, en novembre, son camp n’y croit déjà plus. La raclée macroniste aux européennes est passée par là. Mais la tranchante maire du VIIe ne s’avoue jamais vaincue. L’institut Odoxa lui promet désormais 20 % des voix, trois points de moins que la maire sortante, mais nettement plus que Benjamin Griveaux, le fidèle d’Emmanuel Macron. Elle a contre elle un parfum tenace de dilettantisme et une enquête judiciaire du Parquet national financier. Mais, à son actif, une envergure nationale et une combativité admirée y compris par ses détracteurs. Elle en aura besoin pour relever le défi qui l’attend : mettre fin à près de vingt ans de défaites de la droite à Paris.

31 janvier 2020

BREXIT

brexit 31 janvier

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31 janvier 2020

Dix sculptures en bronze de Salvador Dali volées dans une galerie à Stockholm

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Les dix sculptures en bronze du maître catalan dérobées sont estimées chacune entre 20.000 et 50.000 euros.

Dix sculptures du maître du surréalisme Salvador Dali ont été dérobées jeudi 30 janvier à l'aube lors du cambriolage d'une galerie à Stockholm, a raconté le propriétaire des lieux.

L'un des 350 exemplaires de la fameuse montre molle fait partie du lot

Les voleurs ont brisé la porte vitrée de la galerie Couleur dans le quartier chic d'Östermalm, et ont emporté les oeuvres, estiméee entre 20.000 et 50.000 euros pièce, avant de prendre la fuite à bord d'un véhicule, selon des témoins. Les sculptures en bronze, qui représentent notamment la fameuse montre molle de l'artiste catalan et dont il existe environ 350 exemplaires numérotés dans le monde, provenaient d'une collection suisse et étaient en prêt.

Peder Enström, interrogé par une journaliste de l'AFP dans sa galerie après le départ des enquêteurs, estime que "3, 4, 5 ou même 6 personnes" pourraient être à l'origine du vol. "Ils n'ont pas pris les certificats (d'authenticité des oeuvres), ce qui est une bonne chose parce que ça va être très compliqué de vendre les sculptures sans ces documents", a-t-il ajouté.

30 janvier 2020

François Fillon ce soir sur France 2

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30 janvier 2020

Brexit

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Deux jours avant le Brexit, le Parlement européen a ratifié mercredi 29 janvier à une écrasante majorité le traité de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne. L’adieu aux députés britanniques a été marqué par l’air de « Ce n’est qu’un au revoir », chanté par des députés, et par un dernier coup d’éclat de Nigel Farage.

Les eurodéputés ont donné sans surprise leur accord par 621 voix pour, 49 contre, et 13 abstentions. Il s’agissait de la dernière étape majeure dans la ratification de l’accord, trois ans et demi après le référendum sur le Brexit au Royaume-Uni.

30 janvier 2020

Coronavirus : un centre de vacances à Carry-le-Rouet réquisitionné pour les Français évacués de Wuhan

virus centre vacances

Un centre de vacances de Carry-le-Rouet et un centre de formation des sapeurs-pompiers à Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône, vont accueillir les premiers Français évacués de Wuhan. Leur retour est prévu dans la nuit de vendredi à samedi, ils seront placés en quarantaine pendant 14 jours.

Par Annie Vergnenegre

C'est l'effervescence ce jeudi à la mairie de Carry-le-Rouet, à 30 km de Marseille. A la mi-journée, une réunion est improvisée avec les gendarmes. La petite commune de la Côte Bleue s'apprête à accueillir des Français évacués de Chine.

Le maire redoute qu'"une psychose" gagne la population "dès que les gens vont apprendre qu'il y a des Français qui arrivent de Chine et qu'ils sont confinés pendant 14 jours".

"On attend 4 à 5000 personnes ce dimanche, s'inquiète surtout Jean Montagnac à la veille des traditionnelles oursinades qui s'étalent sur un mois. "Si on l'avait su on aurait reporter".

Sans vouloir se dérober à ses responsabilités, l'élu ne cache pas sa colère d'avoir été prévenu au dernier moment. En fait, il a appris la nouvelle à 14 heures de nos journalistes.

"Je viens d'avoir la préfecture parce que c'est moi qui les ai appelés, ce qui est quand même navrant, note-il, et le préfet confirme que le site est retenu, il va être sécurisé par les gendarmes mais il va peut-être arriver 30, 40, 50, 200 personnes, je ne sais pas du tout!"

Alors que le bilan de l'épidémie de pneumonie virale liée au Coronavirus s'établit à 170 morts en Chine, le retour des Français piégés à Wuhan s'organise.

Le centre de vacances Vacanciel des Eaux Salées va accueillir une partie des rapatriés français sous le contrôle d’une équipe médicale de la Croix-Rouge.

Le site a été choisi car facilement "sécurisable" selon le maire, il ne dispose que d'un accès voiture et deux accès piétons. La ministre de la santé Agnès Buzyn pourrait se rendre sur place ce vendredi.

Selon le maire de Carry, "le directeur général de Vacanciel a d'abord dit non car ils ouvrent le 20 février. Une fois qu'ils seront partis, il va falloir tout décontaminer".

"On met en difficulté une entreprise et ça impacte notre commune de Carry, car un tiers de notre économie se fait pendant ce mois de l'oursin".

"Peut-être que des gens ne viendront pas cet été, sachant ça" projette déjà Jean Montagnac.   

Un deuxième centre à Aix-en-Provence

Un deuxième centre est prévu dans les Bouches-du-Rhône pour répondre à la demande des autorités françaises.

Il s'agit de l'école nationale supérieure de sapeurs-pompiers (Ensosp) au sud d'Aix-en-Provence, qui accueille actuellement près de 400 stagiaires en formation.

Un premier avion de l'armée est parti de Paris avec une équipe médicale à bord dans la nuit de mercredi à jeudi à destination de Wuhan. Son retour est attendu dans la nuit de vendredi à samedi. Il pourrait atterrir sur l'aéroport de Marignane.

Au moins 250 Français pourraient rentrer et être placés en quarantaine pendant 14 jours, le temps de s'assurer qu'ils ne développent aucun symptôme de la maladie. Parmi eux pourraient se trouver les huit Dignois bloqués dans la métropole chinoise.

L’ensemble des rapatriés du premier vol sont des personnes asymptomatiques, elles ne présentent donc pas de symptômes du virus assurent les autorités françaises.

Les éventuels ressortissants français en Chine présentant des symptômes de la maladie pourront bénéficier d’un rapatriement par vol sanitaire pour être hospitalisés en France.

Mise en quarantaine

La période d'incubation du Coronavirus chinois est de l'ordre de 5,2 jours en moyenne, mais varie beaucoup d'un patient à l'autre d'où la nécessité d'une période d'observation de 14 jours pour les personnes exposées selon les autorités sanitaires chinoises.

De son côté, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) table sur une fourchette de deux à dix jours pour l'apparition des symptômes (fièvre, toux, essoufflement, voire détresse respiratoire aigüe).

Se laver les mains, se couvrir la bouche et le nez en cas de toux ou d’éternuement ...

Au 29 janvier, cinq cas d’infection au virus 2019-nCoV ont été confirmés sur le territoire français. Quatre de ces cas sont pris en charge à Paris, le cinquième à Bordeaux. Deux d'entre eux ont été placé en service de réanimation. Tous sont originaires ou on séjourné récemment à Wuhan.

30 janvier 2020

Affaire Barbarin : Le cardinal, poursuivi pour non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs, relaxé à Lyon

cardinal

NON DENONCIATION Le cardinal de Lyon, condamné en première instance à de la prison avec sursis, était poursuivi pour non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs

Le cardinal Barbarin a été relaxé par la cour d’appel de Lyon ce jeudi après-midi. Une décision conforme aux réquisitions du procureur de la République ayant demandé en novembre dernier que le prélat soit relaxé « des chefs de prévention » de non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs. Une heure après, les avocats des victimes ont annoncé qu’ils allaient se pourvoir en cassation.

En mars 2019, Philippe Barbarin, mis en cause par d’anciens scouts rassemblés au sein de La Parole libérée, avait été condamné à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Lyon avant de faire appel de cette décision, tout comme le parquet. L’an dernier, les juges avaient estimé que le cardinal aurait dû alerter la justice et la police des agissements du Père Preynat dès le mois de juillet 2014, lorsque Alexandre Hezez, l’une des victimes de l’ancien prêtre, l’a contacté pour lui en parler.

Or, le cardinal Barbarin ne l’a pas fait et le curé est resté en activité dans le diocèse de Lyon jusqu’en août 2015. Réduit à l’état laïc en juillet dernier après avoir été jugé par le tribunal ecclésiastique, Bernard Preynat a été jugé au mois de janvier par le tribunal correctionnel de Lyon pour des faits d’agressions sexuelles sur mineurs remontant aux années 1980 et 1990. Le parquet a requis à son encontre une peine «  pas inférieure à huit années de prison ». La décision sera rendue le 16 mars.

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