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Jours tranquilles à Paris

5 janvier 2020

Vu du Liban. La mystérieuse épopée de Carlos Ghosn sera lourde de conséquences

L’ORIENT-LE JOUR

La fuite vers le Liban de l’ancien numéro 1 de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi demeure très floue pour L’Orient-Le Jour. Ce qui est sûr néanmoins, c’est qu’elle aura un impact sur la relation entre Tokyo et Beyrouth, assure le journal.

Les circonstances de l’incroyable évasion de l’ancien patron de l’alliance Nissan-Renault-Mitsubishi, Carlos Ghosn, vers le Liban, alors qu’il était assigné depuis huit mois à résidence au Japon, restent un mystère absolu. Depuis lundi [30 décembre 2019], lorsque son arrivée à Beyrouth a été confirmée, les théories les plus folles ont couru sur l’escapade de M. Ghosn dont le procès pour malversations financières et abus de confiance devrait s’ouvrir en avril prochain à Tokyo.

Ce qui est sûr, c’est que le Liban n’a pas l’intention de l’extrader vers le Japon, non seulement parce que Beyrouth et Tokyo ne sont pas liés par des accords d’extradition ou de coopération judiciaire, mais parce que les lois libanaises le permettent. À Beyrouth, les démarches judiciaires qui s’imposent dans ce genre de situation suivront leur cours sans que l’homme d’affaires libanais, qui détient également les deux nationalités brésilienne et française, n’ait à s’inquiéter.

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La France, où Carlos Ghosn fait également l’objet d’enquêtes sur des “abus de bien sociaux” ainsi que sur des faits de “corruption”, a elle aussi fait savoir par la voix de la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, Agnès Pannier-Runacher, que l’ex-patron de Nissan et Renault ne serait pas extradé s’il s’y rendait. Au cours d’une interview sur la chaîne BFMTV, Mme Pannier-Runacher a expliqué que “la France n’extrade jamais ses nationaux”.

Nous appliquons à M. Ghosn comme à M. Tout-le-Monde les mêmes règles du jeu, mais cela ne nous empêche pas de penser que M. Ghosn n’a pas à se soustraire à la justice japonaise”, a-t-elle ajouté.

Une communication à venir

C’est ainsi que Beyrouth a accueilli avec placidité hier une “notice rouge” ou l’équivalent d’une demande d’arrestation du bureau d’Interpol du Japon, via le bureau de Beyrouth. La notice a été remise au ministre sortant de la Justice, Albert Serhane, qui l’a transmise à son tour au parquet de Beyrouth. Suivant la procédure en vigueur, le procureur général devrait convoquer le magnat de l’automobile pour entendre sa version des faits.

Ce dernier a fait savoir quelques heures après son arrivée à Beyrouth que s’il a décidé de s’évader, c’est “pour fuir non pas la justice, mais l’injustice” et pour établir la vérité sur les faits qui lui sont reprochés.

Je ne suis plus l’otage d’un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité, où la discrimination est généralisée et où les Droits de l’Homme sont bafoués, cela au mépris absolu des lois et des traités internationaux que le Japon a ratifiés et qu’il est tenu de respecter”, a-t-il affirmé d’emblée dans un premier communiqué, publié mardi [31 décembre 2019] à l’aube.

“Je n’ai pas fui la justice, je me suis libéré de l’injustice et de la persécution politique. Je peux enfin communiquer librement avec les médias, ce que je ferai dès la semaine prochaine”, a-t-il ajouté. Une rencontre avec un groupe de journalistes est en effet prévue mercredi [8 janvier] ou jeudi [9 janvier], dans un endroit qui reste encore inconnu.

Au Japon, un coup de tonnerre dans une nuit d’orage

Le lieu de séjour de Carlos Ghosn au Liban reste à ce jour inconnu, même si sa résidence à la rue du Liban à Achrafieh est pratiquement assiégée par des journalistes étrangers, notamment japonais. La nouvelle de la fuite de l’homme qui avait pratiquement sauvé le constructeur japonais d’une faillite certaine et tiré le groupe français d’une situation tout aussi difficile, tout en lui assurant une ouverture large sur le marché international grâce au rapprochement avec Nissan, fait depuis trois jours la une des médias internationaux, notamment au Japon où son impact a été aussi fracassant qu’un coup de tonnerre dans une nuit d’orage.

Il faudra attendre que Carlos Ghosn s’exprime lui-même publiquement pour connaître la suite de l’aventure dans laquelle il vient de s’engager et dont on ignore toujours pour l’heure les répercussions sur les relations entre le Liban et le Japon. Il faudra attendre la fin de l’enquête pour connaître les mesures diplomatiques et politiques que Tokyo prendra. Mais d’aucuns redoutent une crise entre les deux pays, parce que c’est un fait : Beyrouth a pris fait et cause pour le magnat de l’automobile depuis son arrestation et réclamé à maintes reprises son extradition vers son pays d’origine. L’affaire a été soulevée dernièrement, entre autres, lors de la visite du ministre d’État japonais pour les Affaires étrangères, Keisuke Suzuki, le 21 décembre dernier à Beyrouth où il s’était entretenu avec le chef de l’État Michel Aoun, le président du Parlement Nabih Berry, le Premier ministre sortant Saad Hariri et le ministre sortant des Affaires étrangères Gebran Bassil.

Un départ bien orchestré

Les autorités libanaises ont dès mardi [31 décembre 2019] fait savoir qu’elles n’avaient aucun rapport avec l’évasion de M. Ghosn. Le ministre sortant de la Défense Élias Bou Saab l’a réaffirmé hier. L’homme d’affaires libanais est entré de “façon légale” dans son pays d’origine, s’est empressé de préciser la Sûreté générale dans un communiqué, pour couper court aux rumeurs sur l’épopée de ce dernier. Selon la Sûreté générale, rien n’impose “l’adoption de procédures à l’encontre de M. Ghosn”, ni ne l’expose à “des poursuites judiciaires”.

Les circonstances exactes de son départ du Japon sont loin d’être complètement élucidées. Le parcours, lui, semble en revanche établi : entre le Japon et le Liban, Carlos Ghosn a bel et bien fait escale à Istanbul, précise l’AFP dans une dépêche datée depuis Paris, relevant que dans les deux capitales des enquêtes sont ouvertes. À Istanbul, sept personnes ont déjà été interpellées à titre préventif dans le cadre des investigations en cours. Il semble néanmoins clair que M. Ghosn est parti le 29 décembre du Japon en direction d’Istanbul, avant d’embarquer pour un second vol à destination de Beyrouth. Selon les informations collectées sur le site Flight Radar 24, qui suit les vols à travers le monde, un avion a décollé d’Osaka le 29 décembre à 23h10 pour atterrir à Istanbul à 5h15, à l’aéroport Atatürk, utilisé par les avions transportant des marchandises et pour des vols privés. L’appareil, un jet Bombardier Global Express, immatriculé TC-TSR, appartient à la compagnie turque MNG Jet, spécialisée dans la maintenance et les vols de jets privés.

Quarante-cinq minutes plus tard, un autre jet privé, un Bombardier Challenger 300 immatriculé TC-RZA, a décollé du même aéroport. “Destination Beyrouth”, a déclaré le pilote dans un enregistrement des échanges avec la tour de contrôle obtenu par les enquêteurs, selon l’AFP. Sur Flight Radar, pas d’indication au sujet du propriétaire de l’appareil. Seule la mention “propriétaire privé” apparaît.

Une faille dans la surveillance

Les investigations portent sur le point de savoir comment Carlos Ghosn, pourtant reconnaissable entre mille à l’échelle internationale, a pu échapper à la surveillance stricte dont il faisait l’objet et faire le voyage le plus normalement du monde. Plusieurs théories ont été avancées sur les complicités dont il aurait pu bénéficier. Dans un second communiqué qu’il a fait paraître [jeudi 2 janvier] et pour couper court aux rumeurs faisant état d’une éventuelle assistance de son épouse Carole, Carole Ghosn a assuré qu’il a organisé “seul” son départ, sans la participation de sa famille.

Les autorités japonaises n’ont pas de données informatiques indiquant que Carlos Ghosn se serait présenté sous sa réelle identité aux contrôles aux frontières du Japon avant son départ, dans aucun des aéroports du pays.

Il est soupçonné d’avoir employé un moyen illégal de sortie du territoire, soit sous une fausse identité ou en échappant aux contrôles, estime la chaîne publique japonaise NHK.

Ses trois passeports (français, libanais, brésilien) étaient conservés par ses avocats japonais, pour limiter les risques de fuite. Mais, selon une source proche du dossier, une autorisation exceptionnelle du tribunal lui permettait de conserver un second passeport français sur lui dans un étui fermé par un code secret connu de ses avocats.

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5 janvier 2020

Incendies en Australie : plus de 100 000 personnes quittent leurs logements, 3 000 militaires réservistes déployés

australie feu

Les températures caniculaires samedi, dépassant les 40 °C, s’accompagneront de vents violents qui risquent d’attiser les centaines de feux de forêts.

Des dizaines de milliers d’Australiens ont quitté samedi 4 janvier leurs domiciles – alors que les conditions météo du week-end risquent d’aggraver encore les catastrophiques feux de forêt – transformant en villes fantômes des stations touristiques habituellement animées en cette saison. L’état d’urgence a été décrété dans le sud-est de l’île-continent, la région la plus peuplée, et ordre a été donné vendredi à plus de 100 000 personnes d’évacuer dans trois Etats.

« Aujourd’hui, il s’agit de sauver des vies », a averti la première ministre de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian. « Nous avons littéralement vu partir des dizaines de milliers de personnes », a témoigné le chef des pompiers de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud, Shane Fitzsimmons. « Notre message était de vous assurer de partir [vendredi]. Partir jusqu’à aujourd’hui, c’est prendre un risque, attendre une demi-heure de plus, c’est prendre un risque plus grand », a-t-il dit.

Autoroutes engorgées

Touristes et habitants du sud-est du pays ont ainsi abandonné leurs lieux de villégiature estivale ou leurs logements. Les autoroutes reliant les villes du littoral à Sydney et d’autres grandes villes étaient engorgées par de longues files de voitures. La journée de samedi promet d’être « longue » et difficile, selon M. Fitzsimmons.

Les températures caniculaires samedi – dépassant les 40 °C – devaient en effet s’accompagner de vents violents qui risquent d’attiser les centaines de feux de forêts brûlant à travers le pays depuis quatre mois, dont la plupart sont hors de contrôle.

Les conditions météorologiques devraient être samedi « identiques, voire pires que ce que nous avons vu à la Saint-Sylvestre », a prévenu Jonathan How, de la météo australienne. « Des vents d’ouest forts et secs raviveront les incendies en cours », « menaçant des populations qui ont déjà subi des dévastations de grande ampleur », a-t-il déclaré.

3 000 réservistes appelés

Le premier ministre Scott Morrison a appelé samedi 3 000 militaires réservistes à se déployer, une mobilisation sans précédent. « Cela permet d’avoir plus d’hommes sur le terrain, plus d’avions dans le ciel, plus de navires en mer », a affirmé M. Morrison, critiqué pour sa gestion de la crise.

Supermarchés, magasins, pubs fermés : un calme étrange et inquiétant régnait samedi sur Batemans Bay, une ville touristique habituellement débordante d’activité, et aujourd’hui en proie à la fumée des incendies environnants. Seul signe de vie dans cette localité, un centre d’accueil pour les personnes évacuées, où des centaines d’habitants contraints de quitter leurs maisons ont trouvé refuge dans des tentes et des caravanes, installées sur un terrain de la ville.

Au moins 22 morts

L’ampleur des feux en Australie a choqué le pays et le monde. Depuis le début de la saison des incendies en septembre, au moins 23 personnes sont mortes, dont deux sur Kangaroo Island, près de Parndana, piégées par les flammes encerclant leur véhicule, ont annoncé les autorités samedi. Des dizaines d’autres personnes sont portées disparues plus de 1 300 maisons ont été réduites en cendres. Une surface équivalente à deux fois la Belgique a brûlé.

Les feux ont également été meurtriers pour la vie sauvage, et ont détruit la quasi-totalité du parc national de Flinders Chase, sur Kangaroo Island, qui abrite des kangourous et des koalas, ont indiqué les autorités samedi.

Dans la petite ville balnéaire de Mallacoota, la marine australienne a évacué vendredi un millier d’habitants et de touristes cernés par les flammes et dont certains s’étaient réfugiés sur le front de mer depuis la Saint-Sylvestre pour se protéger.

Le premier des deux navires militaires affrétés pour les secourir est arrivé près de Melbourne tôt samedi.

Eloise Givney, 26 ans, est parvenue à fuir sous escorte policière alors qu’elle et d’autres personnes avaient passé quatre jours sans électricité, téléphone ou Internet. « Les flammes se sont approchées jusqu’à 50 mètres de nous. Il a fallu conduire parmi elles car c’était la seule voie permettant de partir », a-t-elle dit, décrivant des flammes de 15 mètres de hauteur des deux côtés de la route.

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5 janvier 2020

‘HOTTIE NEW YEAR’ A NEW VISUAL STORY FROM PHOTOGRAPHER ‘ADAM FLOWERS’

Based in London, photographer Adam Flowers and model Jordanna Vyse teamed up for today’s exclusive NAKID feature editorial titled, ‘Hottie New Year’, about a series of inspirational images that were relevant to peoples New Year’s fitness resolutions.  If you love this visual story then show the some love, this is just a glimpse of the amazing stuff they have created – head over to their Instagram below to check out more from this awesome artist and support their creativity and your daily inspiration by following them!

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4 janvier 2020

Dans l'ouest, les huîtres aussi sont victimes de la gastro

Dans le Morbihan et la baie du Mont-Saint-Michel, les coquillages “sont interdits de pêche, de ramassage, d’expédition et de commercialisation, jusqu’à nouvel ordre”.

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En Bretagne sud, les huîtres sont victimes du virus de la gastro-entérite (image d'illustration).

SANTÉ - Plusieurs bassins de production de coquillages sont à l’arrêt dans le Morbihan et la Baie du Mont-Saint-Michel après la contamination d’huîtres au virus de la gastro-entérite. Une situation qui intervient alors que les ostréiculteurs dénoncent une pollution issue de rejets côtiers, a-t-on appris ce samedi 4 janvier de sources concordantes.

En raison de la détection du “norovirus”, cause la plus courante de gastro-entérite, tous les coquillages en provenance de la zone de la baie du Mont-Saint-Michel et la zone conchylicole d’Hirel, en Ille-et-Vilaine, “sont interdits de pêche, de ramassage, d’expédition et de commercialisation, jusqu’à nouvel ordre”, a indiqué dans un communiqué la préfecture d’Ille-et-Vilaine, après un arrêté pris le 3 janvier. Des rappels de produits ont également été réalisés.

4 janvier 2020

Carlos Ghosn.

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Benoît Tessier, Reuters

Des témoignages recueillis au Japon par le New York Times permettent peut-être de comprendre ce qui a poussé Carlos Ghosn à fuir le Japon, au risque d’accréditer définitivement, dans l’opinion publique nippone, sa culpabilité dans les délits financiers dont il est accusé.

L’ancien président de l’alliance Renault avait déjà acquis la certitude que son procès s’achèverait sur une condamnation. Ceci au travers de ses échanges avec son avocat sur place, Junichiro Hironaka, ainsi qu’avec un journaliste spécialisé dans les affaires judiciaires au Japon, Jake Adelstein, et un chef d’entreprise nippon ayant été emprisonné deux ans et demi pour escroquerie.

C’est lors d’une audition qui s’est déroulée pendant la période de Noël, normalement dévolue aux retrouvailles en famille, ce qui lui a été refusé, que Carlos Ghosn aurait compris qu’il ne comparaîtrait pas en 2020 comme prévu, mais en 2021. Et qu’il n’y aurait pas un, mais plusieurs procès. Avec la perspective de rester assigné à résidence durant des années, avant une condamnation à plusieurs années de prison. Un destin auquel l’ancienne star de l’automobile mondiale, à 65 ans, ne se serait pas résignée.

Alors que les autorités japonaises cherchent encore à comprendre comment il a rallié l’aéroport d’Osaka, à 500 kilomètres de Tokyo, avant de s’envoler vers la Turquie puis le Liban, Carlos Ghosn demande maintenant à ce qu’un procès ait lieu au Liban. Ceci afin de laver son honneur, en dépit de l’accumulation des soupçons pesant sur son honnêteté, non seulement au Japon, mais aussi en France et aux États-Unis. Il doit donner une conférence de presse mercredi.

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4 janvier 2020

Lady Flore

lady flore

4 janvier 2020

Trump tente un pari risqué.

Brendan Smialowski, AFP

Donald Trump avait prévenu sur Twitter mardi : Téhéran, accusé d’avoir orchestré l’attaque contre l’ambassade américaine à Bagdad, aurait à payer un « prix très élevé ». À un journaliste qui l’interrogeait sur une possible guerre, il répondait : « Je ne crois pas que cela va se produire. »

En éliminant Soleimani, Trump tape effectivement dur et au sommet de l’Iran. Les parlementaires républicains, tels le sénateur Ben Sasse, applaudissent comme un seul homme : « C’était un salopard qui a assassiné des Américains. »

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Mais le Président a-t-il bien calculé les coups d’après ? « Trump vient de jeter un bâton de dynamite dans une poudrière », alerte l’ancien vice-Président Joe Biden, candidat démocrate à la Maison-Blanche. Depuis 2007, les militaires américains ont eu, plusieurs fois, le général Soleimani dans leur viseur. George Bush puis Barack Obama avaient ordonné la retenue, redoutant une guerre avec l’Iran.

Qu’est-ce qui pousse Trump à prendre le risque, lui qui n’a cessé de fustiger les « guerres sans fin » au Moyen-Orient ? Une combinaison de facteurs, à dix mois pile de la présidentielle.

D’abord, son bilan diplomatique nul : Poutine, qu’il ménage, vient de déployer des missiles hypersoniques face auxquels les États-Unis sont démunis ; Kim Jong-un, qu’il cajole, ne renonce pas à l’arme atomique ; l’Iran ne cessait de le narguer, sabotant des pétroliers et abattant un drone américain dans le détroit d’Ormuz… Trump leur notifie qu’on doit le prendre au sérieux.

Le coup de dés de Trump fait aussi diversion au Congrès, qui devait se consacrer dès mercredi au procès du Président pour abus de pouvoir. Il y a désormais un débat plus urgent. Et en cas de vraie guerre, l’opposition serait temporairement désarmée par l’union nationale de rigueur.

4 janvier 2020

Jean Paul Goude

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4 janvier 2020

Un Dakar 2020 controversé

Après avoir sillonné l’Afrique 29 ans, puis l’Amérique du Sud dix ans, le rallye s’élance dimanche (demain) en Arabie saoudite, où il compte rester cinq ans. Cette 42e édition suscite la polémique en raison des manquements de ce pays aux droits de l’Homme.

4 janvier 2020

Jean Paul Gaultier

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