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Jours tranquilles à Paris

8 janvier 2019

Au théâtre ce soir.... (vu ce soir)

catch impro

Catch Impro
Le Grand Point Virgule
8 bis rue de l'arrivée 75015 Paris
Plan
Description
Avec Arnaud Tsamere, Arnaud Joyet, Emmanuel Urbanet et Virginie Gritten

Encadrés par un arbitre qui s’octroie tous les pouvoirs, deux équipes de deux catcheurs improvisateurs s’affrontent dans un combat théâtral sans merci.

Une ambiance survoltée, des comédiens ruisselants, une énergie explosive, des costumes improbables, des improvisations inoubliables, et peut-être, qui sait, la rencontre de votre vie au bar après le spectacle parce que comme disent les philosophes : « ce n’est pas en restant assis chez soi que… bon voilà, quoi… ».

Le Catch Impro réunit tout ce dont vous avez besoin pour vous requinquer… Jusqu’au prochain Catch Impro.

Le Saviez-Vous :

Arnaud Tsamère, Arnaud Joyet et Jennie Anne Walker sont les acteurs principaux de la série télévisée fantastique et humoristique «H e r o C o r p» diffusée sur Comédie+, France 4 et Game One.

De son côté, Emmanuel Urbanet est comédien mais aussi musicien sous le nom de «Grand Rouquin Blanc». Il joue à côté de Arnaud Joyet dans «Les Joyeux Urbains» un groupe de chanson française théâtralisée.

Virginie Gritten a été championne du monde d'improvisation pendant 4 ans !

Stéphane Guillet est un des fondateurs du Déclic Théâtre où ont été formés Jamel Debbouze et Arnaud Tsamère...

Il a fait parti de la Ligue d'Improvisation Montréalaise et a participé à de nombreux "combats" d'impro internationaux.

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8 janvier 2019

Fashion Freak Show aux Folies Bergère

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8 janvier 2019

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8 janvier 2019

Centre Pompidou

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8 janvier 2019

Carlos Ghosn, en audience publique pour la première fois, se dit « faussement accusé »

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Le PDG de Renault, arrêté pour des malversations financières présumées mi-novembre 2018, a comparu mardi, à sa demande, devant un juge de Tokyo.

L’ancien président du constructeur automobile japonais Nissan – et toujours PDG de Renault – Carlos Ghosn, a comparu, mardi 8 janvier, devant un tribunal de Tokyo, prêt à livrer sa version des faits sur les accusations de malversations financières dont il fait l’objet.

Le magnat de l’automobile de 64 ans, qui connaît une chute brutale après être devenu un personnage tout-puissant, s’est défendu d’une voie claire et forte, sans montrer d’émotion, au cours d’une audience qui a attiré les médias du monde entier et de nombreux curieux.

Vêtu d’un costume sombre, l’homme d’affaires a semblé amaigri. Il est arrivé menotté avec une corde nouée autour de la taille. L’audience, convoquée à la demande du prévenu, a débuté à 10 h 30 locales (2 h 30, heure de Paris). Elle a duré quasiment deux heures.

La procédure est rare, seuls 0,6 % des détenus ont fait une telle requête en 2017. Elle n’avait quasiment aucune chance de changer le cours des choses, mais la portée symbolique est forte pour M. Ghosn, qui avait là une occasion de rompre le silence médiatique dans lequel il est muré depuis plusieurs semaines.

Risques de fuite à l’étranger

« J’ai été faussement accusé et placé en détention sur la base d’accusations sans fondement », a-t-il déclaré lors de l’audience, selon une allocution préparée à l’avance que l’agence Reuters a pu consulter.

S’exprimant en anglais, M. Ghosn a rappelé avoir dédié « deux décennies de sa vie à relever Nissan et bâtir l’alliance », une entreprise qu’il dit aimer. Le dirigeant franco-libano-brésilien affirme « avoir agi avec honneur, légalement et avec la connaissance et l’approbation des dirigeants de la compagnie ».

Il a assuré n’avoir nullement fait couvrir des pertes personnelles à Nissan et a détaillé les transactions pour lesquelles il est accusé d’abus de confiance, assurant que les sommes versées par une filiale du groupe automobile à un homme d’affaires saoudien l’ont été en rétribution de services rendus pour aider le groupe dans la région du Golfe.

Le juge a justifié de son côté son maintien en détention par un risque de fuite à l’étranger « où il a des bases » et d’altération de preuves. « Il y a suffisamment d’éléments pour estimer que le suspect pourrait inciter des personnes concernées à dissimuler des infractions », a argué le magistrat Yuichi Tada.

Première apparition publique

Dès les premières heures de la matinée, une longue queue s’était formée devant le tribunal. Plus d’un millier de personnes ont patienté dans le froid pour tenter de décrocher une des rares places : seulement quatorze tickets ont été alloués par tirage au sort à des membres du public, pour assister à la comparution du célèbre accusé.

L’ambassadeur de France au Japon, Laurent Pic, était présent « dans le cadre de la protection consulaire », selon un porte-parole de l’ambassade. Tout comme celui du Liban et le consul du Brésil, d’après la chaîne de télévision publique NHK.

Carlos Ghosn, qui est toujours PDG de Renault et de l’alliance Renault-Nissan, effectuait sa première apparition publique depuis son incarcération, le 19 novembre 2018, pour des accusations de malversations financières chez Nissan.

Le tribunal du district de Tokyo avait décidé, le 31 décembre, de prolonger de dix jours la détention de l’homme d’affaires, également accusé d’abus de confiance aggravé. Après des espoirs déçus de libération en décembre, M. Ghosn arrive vendredi au bout de sa troisième garde à vue, mais il peut rester en prison dans l’attente de son procès ou même être arrêté sur de nouvelles charges.

Son équipe d’avocats, menée par un ancien procureur, Motonari Otsuru a prévu de tenir une conférence de presse mardi après-midi. Ils sont arrivés un peu plus d’une heure avant le début de l’audience, en taxi.

De son côté, Nissan a déclaré, mardi, qu’une enquête interne avait permis de mettre au jour des preuves substantielles et convaincantes de fautes commises par son ancien président. Le constructeur automobile japonais a fait cette annonce dans la foulée de la première apparition publique de M. Ghosn.

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8 janvier 2019

Vu au cours d'une exposition

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8 janvier 2019

« La crise que Macron encaisse aujourd’hui se creuse depuis une vingtaine d’années »

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Par Gérard Courtois, éditorialiste au « Monde »

Le discrédit envers les institutions que révèlent les « gilets jaunes » est le fruit de reniements successifs, et plusieurs coups de semonce auraient dû sonner l’alarme, estime, dans sa chronique, Gérard Courtois, éditorialiste au « Monde ».

En présentant ses vœux aux Français le 31 décembre, le président de la République Emmanuel Macron a résumé en peu de mots la crise dans laquelle le pays est plongé depuis des semaines et la voie qu’il préconise pour en sortir. En 2018, « nous avons vécu de grands déchirements et une colère a éclaté, qui venait de loin… ». En 2019, « nous devons redonner toute sa vitalité à notre démocratie ».

De fait, si c’est lui qui l’encaisse aujourd’hui de plein fouet – et qui l’a sans nul doute provoquée par sa manière d’être et de faire –, cette crise se creuse depuis une vingtaine d’années. Plusieurs coups de semonce auraient dû sonner l’alarme. Les responsables politiques, fort peu responsables en l’occurrence, les ont superbement ignorés.

Dès 1995, Jacques Chirac fit de la réduction de la « fracture sociale » le thème de sa campagne victorieuse. Une fois à l’Elysée, il n’en fit rien, et les électeurs lui firent payer ce reniement deux ans plus tard en le privant de majorité à l’Assemblée nationale.

Le deuxième avertissement fut envoyé au premier tour de la présidentielle de 2002, avec l’élimination du premier ministre socialiste Lionel Jospin, la qualification du leader de l’extrême droite Jean-Marie Le Pen et le score presque humiliant (à peine 20 % des suffrages) du président en titre, Jacques Chirac. Lequel, au soir de sa victoire finale, assura les Français qu’il avait compris leur « appel pour que la politique change ». Or rien ne changea.

Electeurs floués

Rien ne changea, non plus, au lendemain du référendum de 2005, où les Français rejetèrent le projet de traité constitutionnel européen. Deux ans plus tard, au lendemain de son élection, Nicolas Sarkozy négocia avec ses partenaires le traité de Lisbonne qui reprenait l’essentiel de la Constitution rejetée et qu’il fit ratifier par le Parlement. Nul doute que bien des électeurs se sont sentis floués.

Quant à François Hollande, il engagea en 2014 une politique de soutien aux entreprises aux antipodes des credo de la gauche et dont il n’avait dit mot durant sa campagne de 2012, provoquant une fronde dans son propre camp qui explique, en grande partie, son renoncement à se représenter.

Ajoutons que depuis une quinzaine d’années, et plus encore après le déclenchement de la crise économique mondiale en 2008, ni la droite ni la gauche n’ont su efficacement porter remède aux maux qui minent le pays et qui sont au cœur de la révolte des « gilets jaunes » : chômage de masse, insécurité sociale, alourdissement constant de la charge fiscale – sans parler de l’endettement public abyssal.

Discrédit sans précédent des institutions politiques

Il aurait été miraculeux, dans ces conditions, que les citoyens ne perdent pas confiance dans leurs élus et dans leurs dirigeants. Depuis dix ans, le baromètre établi par le centre de recherche de Sciences Po (Cevipof) donne la mesure de cette fracture politique, démocratique même. Réalisée en décembre 2018, la nouvelle édition de cette enquête sera rendue publique le 16 janvier. Mais quelques chiffres permettent, dès à présent, de confirmer l’ampleur de la crise.

Ainsi, hormis le conseil municipal, les principales institutions politiques souffrent d’un discrédit sans précédent : il ne se trouve plus que 28 % de Français pour faire confiance à la présidence de la République, 22 % au gouvernement, 23 % à l’Assemblée nationale et 9 % aux partis politiques. Quant à l’Etat lui-même, trois Français sur quatre (74 %) jugent que ses affaires sont conduites dans l’intérêt de quelques-uns et non dans l’intérêt général. Ce n’est guère surprenant, dès lors que 85 % des personnes interrogées estiment que les responsables politiques se préoccupent peu ou pas du tout de ce que pensent les gens comme eux.

Deux indicateurs supplémentaires donnent le vertige. Quand on demande aux Français ce qu’ils éprouvent quand ils pensent à la politique, 37 % répondent de la méfiance et 32 % (en hausse de 7 points en un an) du dégoût, contre 9 % de l’intérêt et 5 % de l’espoir… Enfin, un pourcentage équivalent (70 %, en hausse de 9 points en un an) considère que la démocratie ne fonctionne pas bien en France.

Macron a braqué la France

A la lecture de ce réquisitoire, l’on mesure l’ampleur du défi fixé par Emmanuel Macron : redonner toute sa vitalité à notre démocratie. D’autant que, si ses prédécesseurs portent leur part de responsabilité dans cet état des lieux accablant, la sienne n’est pas plus mince.

N’avait-il pas promis, en 2017, de sortir le pays de ses ronchonnements pessimistes, de lui redonner le goût de l’avenir et, pour cela, d’engager une « révolution démocratique », de « revivifier nos appareils sclérosés », à commencer par les partis politiques, enfin d’inventer une « République contractuelle [qui fasse] confiance aux territoires, à la société et aux acteurs pour se transformer » ?

Or c’est l’inverse qui s’est produit : les territoires et leurs élus ont été rudoyés, les acteurs sociaux négligés, les citoyens sermonnés sans ménagement. Quant au parti présidentiel, il est très loin de remplir la mission qui lui était assignée : « Former, réfléchir et proposer.»

Le candidat Macron voulait bousculer la France pour mieux la moderniser. Le président Macron l’a braquée comme rarement, provoquant un ressentiment qu’il lui sera très difficile d’effacer.

Au moins pourra-t-il s’appuyer, dans le grand débat qu’il va engager, sur un chiffre encourageant de l’enquête de Sciences Po : pour 80 % des Français (+ 2 points en un an), « la démocratie peut poser des problèmes, mais c’est quand même mieux que n’importe quelle autre forme de gouvernement ». Quelle que soit la sévérité des critiques à l’encontre du système politique et de ses acteurs, l’aspiration démocratique du pays reste profondément enracinée. Encore faut-il savoir l’écouter, la respecter et la prendre en compte. C’est tout l’enjeu des prochains mois.

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8 janvier 2019

« Gilets jaunes » : Philippe annonce une loi durcissant les sanctions contre « les casseurs » et les manifestations non déclarée

Par Olivier Faye, avec Le Monde.fr

Ces annonces, inspirées d’une loi déjà votée au Sénat, ont lieu deux jours après de nouveaux débordements lors de manifestations.

« Ils n’auront pas le dernier mot. » Invité du « 20 heures » de TF1, lundi 7 janvier, le premier ministre, Edouard Philippe, a tenu à incarner une posture d’autorité alors que la mobilisation des « gilets jaunes » a été marquée, samedi, par un regain de violence et de tensions vis-à-vis des forces de l’ordre. « Ce n’est pas ceux qui remettent en cause les institutions qui auront le dernier mot », a fait valoir le chef du gouvernement.

Pour faire face aux violences, M. Philippe s’est dit prêt à faire voter une « loi nouvelle » pour « sanctionner » ceux qui ne respectent pas l’obligation de déclaration. Il souhaite par ailleurs qu’un « dispositif » similaire à celui qui est mis en place contre les hooligans dans les stades de football permette d’interdire l’accès des manifestations aux casseurs identifiés comme tels. Une ligne de fermeté que certains ministres appelaient de leurs vœux – Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics, souhaitait ainsi que soit appliquée « l’ultra-sévérité » face à « l’ultra-violence ».

Le gouvernement compte s’appuyer sur la proposition de loi du sénateur (Les Républicains, LR) de Vendée Bruno Retailleau déjà votée au Sénat à l’automne 2018, qui crée un fichier des personnes interdites de manifestation. Un texte, jusque-là passé relativement inaperçu, qui sera débattu dès le début de février à l’Assemblée, a fait savoir M. Philippe :

« Ceux qui arrivent cagoulés, aujourd’hui c’est une contravention, demain ça doit être un délit. Ce doit être les casseurs qui payent et pas les contribuables. (…) Nous ne pouvons pas accepter que certains profitent de ces manifestations pour déborder, casser, brûler. Ceux-là n’auront jamais le dernier mot dans notre pays. »

Dans un communiqué, M. Retailleau s’est ainsi félicité des annonces faites par le chef du gouvernement :

« Le premier ministre a décidé ce soir de reprendre à son compte la proposition de loi que j’avais déposée au Sénat et qui a été adoptée le 23 octobre [2018]. C’est une bonne nouvelle ; les individus qui participent cagoulés à des manifestations doivent être sévèrement sanctionnés, et un fichier des casseurs doit être créé. La question de la réparation par les casseurs des dommages qu’ils causent doit également être posée. »

Une initiative saluée également par le président (LR) du Sénat, Gérard Larcher :

5 339 gardés à vue depuis le début des manifestations

Edouard Philippe a ainsi choisi d’axer son intervention exclusivement sur le domaine de la sécurité, et pas sur les aspects sociaux, économiques ou institutionnels, qui mobilisent encore les « gilets jaunes ».

« Dans l’expression des “gilets jaunes”, au début, il y avait des demandes relatives au pouvoir d’achat, à la prise en considération de Françaises et de Français qui se sentaient, s’affirmaient, oubliés, inconnus », a souligné M. Philippe. Deux points sur lesquels il estime que l’exécutif a apporté des réponses.

« L’ouverture avec les “gilets jaunes”, elle a eu lieu, elle se poursuit », rappelle-t-on dans son entourage, où l’on tient à faire savoir que « les enjeux de sécurité sont des enjeux prioritaires du quinquennat ». Une mise en musique, fait-on valoir à Matignon, de la promesse macronienne initiale de « libérer » et en même temps de « protéger » la société française.

Edouard Philippe a aussi annoncé une forte mobilisation policière pour les manifestations qui auront lieu samedi 12 janvier : un dispositif de sécurité « considérable », avec 80 000 membres des forces de l’ordre sur le terrain national.

Ces annonces interviennent deux jours après de nouveaux débordements constatés à l’occasion de « l’acte VIII » des « gilets jaunes », samedi. La journée a notamment été marquée par l’irruption de plusieurs manifestants, dont certains portaient des gilets jaunes, dans le ministère du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

Selon des chiffres communiqués au Monde par le ministère de l’intérieur, lundi au matin, 345 interpellations ont été recensées en France, dont 281 ont donné lieu à des gardes à vue. Et depuis le début de la mobilisation, le 17 novembre, les manifestations ont donné lieu à 5 339 gardes à vue en France, d’après un comptage du ministère de la justice, dont Le Monde a pu avoir connaissance.

« Ultra-fermeté »

Plus tôt dans la journée, lundi, le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, avait devancé les annonces d’Edouard Philippe en dévoilant son intention de proposer une nouvelle loi d’orientation et de programmation pour la sécurité, qui « ne se limitera pas à la police et la gendarmerie nationale, mais intégrera notre vision globale du continuum de sécurité ».

« A l’ultra-violence nous opposerons l’ultra-fermeté », a lancé le ministre lors de ses vœux aux forces de l’ordre à Paris.

Estimant que « la mobilisation et la contestation ont changé de visage », que les « modes d’expression se radicalisent » et se « caractérisent maintenant par une violence exacerbée, organisée, souhaitée », le ministre estime qu’il faut désormais « repenser notre doctrine de maintien de l’ordre, la moderniser, la renforcer » pour « plus de souplesse, de flexibilité ».

8 janvier 2019

Gigi Hadid - Olivier Rousteing

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7 janvier 2019

Attentat Charlie Hebdo... il y a quatre ans

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