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Jours tranquilles à Paris

9 janvier 2019

Milo Moiré

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9 janvier 2019

Emmanuel Macron supprime l’essentiel des cérémonies de vœux

Contrairement à la tradition, le président de la République, Emmanuel Macron, n’organisera aucune cérémonie de vœux à l’Elysée cette année. Il entend se consacrer aux déplacements prévus dans le cadre du « grand débat », rapporte Le Parisien. Emmanuel Macron doit aussi publier, mardi 15 janvier, une lettre aux Français pour expliquer comment se passera ce débat encore flou.

En janvier 2018, pas moins d’une vingtaine de vœux au monde rural, aux corps constitués, aux bureaux des assemblées ou encore à la presse avaient ainsi été adressés par le président de la République.

Seuls les employés de la présidence auront le droit de fouler la nouvelle moquette de la salle des fêtes de l’Elysée, dont la rénovation doit se terminer le 15 janvier, pour les vœux du chef de l’Etat au personnel. Le président s’adressera également aux armées le 17 janvier, mais sur la base du 1er régiment du train parachutiste, à Cugnaux, près de Toulouse, écrit encore Le Parisien.

9 janvier 2019

Réflexion - à propos des Gilets Jaunes

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9 janvier 2019

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9 janvier 2019

Les Etats-Unis s’enfoncent dans la crise après l’allocution de Trump sur son « mur » à la frontière

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Par Gilles Paris, Washington, correspondant - Le Monde

Le président américain a choisi un ton plus solennel qu’à l’habitude, mardi, pour tenter de convaincre, alors que son projet est à l’origine du gel d’un quart du gouvernement fédéral depuis le 21 décembre 2018.

Donald Trump avait choisi la solennité d’une adresse présidentielle, dans le bureau Ovale de la Maison Blanche, mardi 8 janvier, pour tenter de gagner la bataille de l’opinion à propos du « mur » qu’il veut ériger sur la frontière avec le Mexique, mais qui est refusé par les démocrates. Ce blocage est à l’origine du gel (« shutdown ») d’un quart du gouvernement fédéral depuis le 21 décembre 2018.

Après des semaines de messages comminatoires et très souvent mensongers publiés sur son compte Twitter, le président des Etats-Unis, avec gravité, a défendu son projet avec une plus grande mesure, sans céder cependant un pouce de terrain.

La réponse des responsables démocrates du Congrès, la speaker (présidente) de la Chambre des représentants Nancy Pelosi (Californie) et le sénateur Chuck Schumer (Etat de New York) a montré qu’ils n’étaient pas plus disposés à des concessions.

Le « shutdown » est en passe de devenir le plus long de l’histoire des Etats-Unis si aucun compromis n’est forgé avant la fin de la semaine. Le record actuel remonte à un conflit entre le président démocrate Bill Clinton et les républicains à propos du déficit budgétaire. Ces derniers avaient fini par rendre les armes après vingt et un jours de blocage.

Tour de passe-passe

Nul ne peut dire pour l’instant qui cédera le premier cette fois-ci, ou bien si un accord finira par se dessiner sous la pression des modérés des deux camps. Alors qu’une poignée de sénateurs républicains commence à exprimer leur soutien pour une solution transitoire défendue par les démocrates – un financement temporaire des départements fédéraux concernés pour permettre une négociation plus sereine –, Donald Trump a prévu de battre le rappel des troupes mercredi à l’occasion d’un déjeuner au Congrès. Il doit également se rendre près de la frontière au Texas jeudi.

Peu à l’aise dans un exercice très contraint qu’il pratiquait pour la première fois, le président des Etats-Unis a renoncé, mardi, à déclarer un état d’urgence évoqué les jours précédents qui lui aurait permis de contourner le Congrès et de mobiliser l’armée. Cette démarche hardie mais risquée aurait sans doute été la promesse de contestations devant les tribunaux et les précédents en la matière ne plaident pas en faveur du président.

Ce dernier a également remisé les formules chocs, dénoncées comme fausses, assénées les jours précédents. Il n’a ainsi pas fait mention du flot de « terroristes » transitant selon lui par la frontière dont sa propre administration n’a jamais trouvé la trace. Mais il a une nouvelle fois assuré que la construction d’une séparation physique protégerait les Etats-Unis du trafic de drogue, alors que celui-ci passe principalement par les points de passage légaux.

Après avoir martelé pendant la campagne présidentielle que le Mexique financerait l’ouvrage d’art, Donald Trump a affirmé, mardi, que les économies qui seraient selon lui réalisées grâce à la réduction du trafic de drogue dégageraient des bénéfices équivalents aux 5,7 milliards de dollars (5 milliards d’euros) exigés pour sa construction, tout comme le nouveau traité de libre-échange négocié avec ce voisin des Etats-Unis. Une présentation qui relève sur ce dernier point du tour de passe-passe.

Aucune véritable ouverture

Fidèle à ses premiers propos de candidat, en juin 2015, le président des Etats-Unis a également associé une nouvelle fois l’immigration au crime. « Au fil des ans, des milliers d’Américains ont été brutalement tués par ceux qui sont entrés illégalement dans notre pays, et des milliers d’autres vies seront perdues si nous n’agissons pas maintenant », a-t-il dit. « Combien de sang américain devra être versé avant que le Congrès fasse son travail ? », a-t-il ajouté au terme d’une longue liste de victimes.

De nombreuses études, y compris celles issues du cercle de réflexion libertarien CATO, insistent au contraire sur le fait que les immigrants commettent proportionnellement moins de crimes que les personnes nées aux Etats-Unis.

Donald Trump n’a pas exprimé de compassion à l’égard des fonctionnaires fédéraux et des sous-traitants directement touchés par le gel du gouvernement fédéral. Il « reste fermé pour une raison et une seule : les démocrates ne veulent pas financer la sécurité des frontières », a assuré le président qui avait pourtant assuré en décembre 2018 qu’il serait « fier » de provoquer ce blocage pour ce motif.

A quelques détails près, comme la promesse de fonds supplémentaires pour mieux accueillir les demandeurs d’asile, ou la nature de ce « mur », qui serait désormais constitué de lames de métal et non plus de béton, Donald Trump n’a esquissé aucune véritable ouverture.

Il n’a pas évoqué par exemple, comme le lui suggèrent pourtant de nombreuses figures conservatrices – de l’ancien speaker Newt Gingrich aux milliardaires Charles et David Koch –, un éventuel « troc » entre le financement de cette muraille et la régularisation des sans-papiers arrivés enfants aux Etats-Unis. Ces derniers bénéficiaient, depuis 2012, d’un statut légal qu’il a supprimé en septembre 2017, même si cette décision a été gelée ultérieurement par la justice.

Pelosi : « cesser de prendre les Américains en otages »

Dans leurs réponses, Nancy Pelosi et Chuck Schumer ont tenté de recadrer le débat dans une perspective qui leur soit plus favorable, tout en affichant leur unité. « Ne vous y trompez pas : les démocrates et le président veulent tous renforcer la sécurité à la frontière. Nous sommes toutefois en profond désaccord avec le président sur la façon la plus efficace de le faire », a assuré le sénateur, après que Nancy Pelosi avait dénoncé un projet « très coûteux et inefficace ». « Le président doit cesser de prendre les Américains en otages, cesser de créer de toutes pièces une crise [à la frontière] et doit rouvrir le gouvernement », avait-elle exigé.

Les deux camps sont d’autant moins enclins à se rapprocher qu’ils pensent l’un comme l’autre pouvoir profiter de cette crise. Après avoir failli brièvement renoncer à ce financement en décembre 2018, suscitant alors la colère de son aile droite, Donald Trump est désormais convaincu qu’il doit camper sur cette exigence et sur cette promesse de campagne, surtout à la veille de se lancer dans la bataille pour une éventuelle réélection.

De leur côté, les démocrates sortis renforcés à la Chambre lors des élections de mi-mandat considèrent être en position de force parce que le président avait centré sans succès sa campagne sur la situation à la frontière.

Ils considèrent aussi que les sondages qui montrent qu’une majorité de personnes interrogées jugent majoritairement Donald Trump responsable du blocage jouent en leur faveur.

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9 janvier 2019

Ali Mahdavi

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9 janvier 2019

Le « grand débat » ou la difficile reconquête de l’opinion par Macron

Par Cédric Pietralunga, Olivier Faye

Chantal Jouanno, qui devait garantir l’indépendance de la consultation, a jeté l’éponge après une polémique sur son salaire.

Emmanuel Macron espérait en faire l’outil de sa reconquête de l’opinion. Ce pourrait être un nouvel épisode de son annus horribilis. Conçu pour répondre à la crise des « gilets jaunes », le « grand débat » voulu par le chef de l’Etat, dont le lancement est prévu mardi 15 janvier, ne sera finalement pas conduit par Chantal Jouanno. La présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), qui devait garantir l’indépendance et la transparence de la consultation, a préféré jeter l’éponge, après une polémique sur son salaire.

« J’ai décidé de me retirer du pilotage de ce débat », a déclaré l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, mardi 8 janvier sur France 2, estimant que si les interrogations exprimées par des « gilets jaunes », mais aussi des membres de l’opposition, à propos de son niveau de rémunération (14 666 euros par mois) étaient « légitimes », les « conditions de sérénité nécessaires pour ce débat » n’étaient plus assurées. « C’est une décision que j’ai prise parce que je crois en ce débat (…) plus que nécessaire », a-t-elle ajouté.

Mis devant le fait accompli, même si Chantal Jouanno avait prévenu Emmanuel Macron, le chef du gouvernement Edouard Philippe et le ministre de la transition écologique François de Rugy de sa décision avant de l’annoncer, l’exécutif se retrouve dans la situation de devoir improviser à quelques jours du lancement de la consultation.

« Le gouvernement (…) proposera à l’issue du séminaire gouvernemental [organisé mercredi à l’Elysée] une organisation et un mode de pilotage du grand débat national qui présenteront des garanties équivalentes en termes d’indépendance et de neutralité », a réagi Matignon mardi soir, sans donner plus de détails.

Opération « reconquista »

Cet épisode intervient alors que Chantal Jouanno avait exprimé des inquiétudes sur le bon déroulement de la consultation. Dans une lettre adressée à Matignon, le 15 décembre 2018, elle avait notamment pointé le risque que les réunions, qui doivent se dérouler partout en France jusqu’au 15 mars, soient perçues comme des « meetings politiques ». « Il est primordial de ne jamais laisser entendre que le gouvernement pilote directement ou indirectement la méthode du débat », avait-elle insisté, alors que l’opposition dénonce par avance « une opération d’enfumage ».

De la même façon, la présidente de la CNDP avait estimé légitime que le gouvernement fixe le cadre du débat, mais lui déconseillait de tracer des « lignes rouges ». « Afficher une telle position avant l’ouverture du grand débat en videra les salles ou en radicalisera plus encore les oppositions », avait-elle écrit.

Invité de BFM-TV le 8 janvier, Benjamin Griveaux a pourtant annoncé que ni le droit à l’interruption volontaire de grossesse, ni l’interdiction de la peine de mort, ni le mariage pour tous ne « seront sur la table », donnant le sentiment de vouloir verrouiller par avance les discussions. « On ne tergiversera pas sur les valeurs », a justifié le porte-parole du gouvernement.

La décision de Chantal Jouanno est d’autant plus dommageable pour l’exécutif que celui-ci a fait du « grand débat », dont les contours doivent être précisés par Emmanuel Macron dans une lettre aux Français publiée mi-janvier, l’élément central de son opération reconquista. « Beaucoup de Français, mais aussi les élus, les syndicats, veulent sortir de ce conflit. La consultation lancée par le président peut être la solution », estime Sacha Houlié, député La République en marche (LRM) de la Vienne.

Signe de son implication, le chef de l’Etat a lui-même prévu d’y participer, malgré les préventions de la CNDP quand aux accusations de partialité.

Ne pas ralentir le rythme des réformes

Le 15 janvier, Emmanuel Macron se rendra ainsi dans l’Eure, fief de son ministre chargé des collectivités locales, Sébastien Lecornu, où il a prévu de rencontrer plusieurs dizaines de maires, notamment ceux des petites communes qui ont ouvert des « cahiers de doléances » pour permettre à leurs administrés d’exprimer leurs attentes. Deux jours plus tard, il récidivera dans le Lot. « Le président sera dans une posture d’écoute, à l’image de celle qu’il a eue avec les syndicats le 10 décembre », rassure-t-on à l’Elysée.

Ces déplacements, les premiers en public du chef de l’Etat depuis sa visite mouvementée du Puy-en-Velay, le 4 décembre, où il avait été insulté et même poursuivi par des « gilets jaunes », donneront une indication de la capacité d’Emmanuel Macron à renouer le contact avec les Français. « On est pas dans une angoisse qui nous obligerait à mettre un périmètre de sécurité de cinquante mètres autour de lui », assure-t-on à l’Elysée, où l’on n’exclut pas que le président improvise des bains de foule si l’occasion se présente.

Mais si ces déplacements ou le « grand débat » se passent mal, c’est toute la stratégie de l’exécutif qui pourrait se voir remise en cause. Un temps paralysé par la violence exprimée lors des manifestations des « gilets jaunes », le chef de l’Etat et son premier ministre affichent depuis le début de l’année leur résolution à ne pas ralentir le rythme des réformes. « L’impatience, que je partage, ne saurait justifier aucun renoncement », a lui-même déclaré M. Macron lors de ses vœux télévisés aux Français, le 31 décembre, persuadé que le mouvement n’est pas une invitation à l’immobilisme.

« Les “gilets jaunes” ne traduisent pas une envie de statu quo mais un besoin de résultats. Ce qu’ils nous reprochent, c’est de ne pas voir l’impact des réformes dans leurs vies. Les gens veulent voir les choses bouger », estime-t-on à l’Elysée, où les cars Macron sont souvent cités comme l’exemple à suivre des mesures visibles par les Français. « Peut-être avons nous trop composé avec certains conservatismes, nous allons changer cela (…) nous allons aller plus loin dans le changement, être plus radicaux », a résumé Benjamin Griveaux, à l’issue du conseil des ministres le 4 janvier.

Ne pas jeter de l’huile sur le feu

« Nous n’avons pas tout réussi, il faut davantage de dialogue, de co-construction. Mais l’élan est là, nous n’avons pas de doutes, abonde l’entourage d’Edouard Philippe à Matignon. Nous avons transformé beaucoup de choses, atteint le niveau d’ambition des réformes Hartz chez Schröder. Il faut que maintenant les acteurs s’en saisissent. » L’exécutif compte notamment porter plus d’attention à l’application des réformes une fois qu’elles sont votées, en mobilisant notamment les directeurs d’administrations centrales. « Les gens nous disent : faites avancer les choses ! », plaide Amélie de Montchalin, députée (LRM) de l’Essonne.

Soucieux de ne pas jeter de l’huile sur le feu, l’exécutif a néanmoins décidé d’adapter son calendrier. Sur les trois chantiers inscrits à l’agenda 2019 par le président de la République – les retraites, l’assurance chômage et la fonction publique –, priorité devrait être donnée à la réforme de l’Etat. Un premier texte sera présenté en conseil des ministres fin janvier puis détaillé par M. Macron devant les 1 800 plus hauts cadres de l’administration, lors d’une « convention des managers » prévue en février à l’Elysée.

A la tête de l’Etat, on estime en effet que la réforme de la fonction publique est le chantier le moins susceptible de provoquer des polémiques. « Les fonctionnaires, c’est cinq millions de personnes, alors que les retraites, ça touche tout le monde », souffle un conseiller, persuadé que les « gilets jaunes » ne se mobiliseront pas contre une baisse des dépenses de l’Etat. « Si on réussit cette réforme, cela peut nous redonner de la dynamique, comme une première marche sur laquelle on s’appuie pour prendre l’impulsion », estime même cette source.

A l’inverse, les grandes lignes de la réforme des retraites ne seront pas dévoilées avant le début de l’été. Pas question de polluer les élections européennes, prévues le 26 mai, avec un sujet aussi éruptif. Interrompue début décembre 2018, la négociation avec les syndicats, menée par Jean-Paul Delevoye, ne devrait pas reprendre avant le 21 janvier.

« Le président a la patate »

Au sein de la majorité, certains plaident même pour reporter le sujet à 2020. « Ce n’est pas la priorité du moment, il faut d’abord réussir le grand débat citoyen », a ainsi estimé Olivier Damaisin, député (LRM) de Lot-et-Garonne, dans Le Figaro du 7 janvier. Selon un ministre, la « teneur du grand débat » aura nécessairement une influence sur cette réforme. « Il n’y a pas grand-chose de déconnecté », estime-t-il encore.

En attendant, l’exécutif n’entend pas céder au découragement. A écouter ses proches, Emmanuel Macron serait rentré ragaillardi de ses vacances de Noël au fort de Brégançon (Var), où il a pu s’offrir quelques promenades privées à Saint-Tropez et à Borme-les-Mimosas malgré la menace des « gilets jaunes ».

« Le président a la patate », assure un proche. Un sondage publié par l’IFOP le 8 janvier lui donne il est vrai des raisons d’espérer. Selon l’institut, la cote de popularité d’Emmanuel Macron a repris cinq points en janvier, pour atteindre 28 % d’opinions positives. Un rebond inédit depuis le mois d’octobre.

9 janvier 2019

Dans les salles à partir d'aujourd'hui...

9 janvier 2019

Laetitia Casta

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9 janvier 2019

"Edmond" dans les salles à partir d'aujourd'hui

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À l'occasion de la sortie du film "Edmond", qui revient sur l'écriture du chef-d'oeuvre "Cyrano de Bergerac", Vogue a choisi les 10 citations les plus enflammées, cocasses et profondément inspirantes d'Edmond Rostand.

"C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!... Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!"

"Un baiser, qu'est-ce ? Un serment fait d'un peu plus près, un aveu qui veut se confirmer, un point rose qu'on met sur l’i du verbe aimer ; c'est un secret qui prend la bouche pour oreille."

"Il n'est de grand amour qu'à l'ombre d'un grand rêve."

"Des larmes au baiser il n'y a qu'un frisson !"

"L'amour, c'est l'un qui souffre et l'autre qui regarde, et je fus toujours l'autre, et, cela, je le garde !"

"Les plus beaux yeux pour moi sont des yeux pleins de larmes."

"Si les baisers s'envoyaient par écrit, Madame, vous liriez ma lettre avec les lèvres !"

"Il y a beaucoup de gens dont la facilité de parler ne vient que de l'impuissance de se taire."

"C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière !"

"L'amour n'est que hasard !"

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