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Jours tranquilles à Paris

29 avril 2020

Libération de ce 29 avril 2020

libé du 29 avril

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29 avril 2020

Sainte-Anne-d'Auray - Nicolazic : le son et lumières est pour le moment maintenu

Pour le moment le son et lumières retraçant la vie du paysan breton est maintenu.

Le coronavirus aura-t-il raison du son et lumières retraçant un pan de vie d’Yvon Nicolazic, le paysan breton, à Sainte-Anne-d’Auray ? Pour le moment, Gwénaël Le Yondre, président de l’association, en concertation avec le père Fagot, metteur en scène, maintiennent cette huitième édition. « 1625, le Mystère de Sainte Anne » devrait donc se dérouler, début août, au théâtre de verdure du Pont Er Groah. Un spectacle de deux heures racontant un pan de vie du paysan breton, Yvon Nicolazic, à qui Sainte-Anne est apparue, dans son champ du Bocéno. Tout en gardant l’intrigue initiale, les spectateurs découvriront une nouvelle fois le personnage de Pierre de Kériolet, un bandit de grand chemin. Odieux personnage, il sera lui aussi témoin d’apparition. Repenti, il deviendra prêtre. Cette huitième édition pourrait voir également du renouveau avec de nouveaux arrangements scéniques et sonores.

29 avril 2020

Belle, belle, belle...

belle

29 avril 2020

Le Parisien - L'ÉDITO de Charles de Saint Sauveur

Edouard Philippe, le funambule       

Ceux qui misaient sur une « libération » du 11 mai ont dû voir leurs espoirs - certes assez illusoires - douchés par le Premier ministre, qui présentait ce mardi, dans une Assemblée nationale silencieuse comme une cathédrale, son plan de déconfinement. D’emblée, il a utilisé un mot destiné à frapper les esprits : le risque « d’écroulement » de l’économie. Il n’a ensuite presque plus été question d’économie, comme s’il fallait éviter de nourrir les critiques de ceux qui assurent que seul ce critère guide l’exécutif pour l’après 11 mai. A cette date, la France pourra donc remettre le nez dehors, mais à pas de Sioux, avec la menace d’un retour fissa à la maison en cas de 2e vague épidémique. Le chef du gouvernement, tel un funambule, avance sur un fil. Une « ligne de crête » périlleuse, résumée ainsi : « Un peu trop d’insouciance et c’est l’épidémie qui repart. Un peu trop de prudence et c’est l’ensemble du pays qui s’enfonce ». En clair, l’hôpital ou Pôle emploi. On imagine assez facilement l’« écroulement » moral qui suivrait la moindre embardée d’un côté ou de l’autre. D’autant que le moral des ménages s’est effondré de huit points, révèle l’Insee ce matin, la plus lourde chute depuis la création de l’indicateur en 1972 ! A la fin de son discours, Philippe a repris le célèbre leitmotiv de Kennedy, qui invitait les Américains à se demander ce qu’ils pouvaient faire pour leur pays, plutôt que de tout en attendre. Lui fait reposer le succès de son plan sur le civisme des Français, mettant un peu plus en lumière l’extraordinaire fragilité du plan de sortie. Malgré les zones d’ombre et les contradictions pointées aussitôt par l’opposition, le Meccano présenté ce mardi a au moins l’avantage de planter le décor pour les mois qui viennent : « Nous allons devoir vivre avec le virus ». Et le gouvernement avancer dans cette purée de pois avec une opinion de plus en plus défiante envers sa capacité à gérer cette crise sans précédent.   

29 avril 2020

Vu sur internet

jaime51

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28 avril 2020

Laetitia Casta

Photo de couverture : Laetitia Casta photographiée par Emmanuel Giraud. Réalisation : Barbara Loison. Laetitia porte une robe en maille technique, soie et coton, OLIVIER THEYSKENS, et une boucle d’oreille, BALENCIAGA. Coiffure : Olivier de Vriendt chez The Wall Group. Maquillage : Min Kim chez The Wall Group. Casting : Marlène Jacquet chez Casting by Rise.

casta775

28 avril 2020

La lettre politique de Laurent Joffrin - Déconfinés ou déconfits ?

A nous la liberté ? Certainement pas. Le déconfinement annoncé par le Premier ministre a toutes les allures d’un confinement qui ne dit plus son nom. Ou d’un demi-confinement. La France n’est plus enfermée chez elle, certes – plus entièrement, en tout cas. Mais elle reste sous cloche. Les personnes âgées doivent se préserver, le télétravail continue, les écoles rouvriront au compte-gouttes selon la situation locale, les bars, les restaurants, les salles de spectacle restent fermés. Beaucoup de Français seront encore incités à rester chez eux et les autres devront, pour reprendre le cours de leurs activités, s’entourer d’une myriade de précautions.

Pouvait-on faire autrement ? L’opposition s’oppose, ce qui est son rôle. Mais ses critiques, plus ou moins sonores, sont partielles, ciblées, voire disparates. En fait, elle a du mal à répondre à une question simple : faut-il déconfiner plus ou déconfiner moins ? La réponse qu’elle fournit, c’est le moins qu’on puisse dire, n’est pas claire. Le gouvernement aura beau jeu de le lui faire remarquer. C’est bien plus auprès de l’opinion qu’il est à la peine. Emmanuel Macron avait fait briller un rayon d’espoir en fixant la date du 11 mai pour libérer les Français. Or c’est une libération très conditionnelle qu’annonce Edouard Philippe. Incontestable zigzag dans le discours officiel.

Au fond, le gouvernement paie toujours le prix de son péché originel : l’affaire des masques et des tests, déclarés peu utiles au début de l’épidémie, aujourd’hui promus comme des solutions évidentes. Edouard Philippe s’est défendu en expliquant que la doctrine scientifique avait changé. On soupçonne que cette doctrine était directement indexée sur le nombre de masques et de tests disponibles. Comme on espère en avoir plus en mai, le bon sens reprend ses droits : le masque protège, le test permet de dépister et d’isoler les malades. On reconnaît aujourd’hui ce qu’on avait nié hier. Il était temps.

LAURENT JOFFRIN

28 avril 2020

Des masques, des masques, des masques...

masque joli

masques 14

masques effucacité

masques3333

28 avril 2020

Le Parisien de ce 27 avril 2020

le parisien 27 avril

28 avril 2020

Au Petit Palais - « L’Age d’or de la peinture danoise (1801-1864) »

Il y a quelques choses jolies au royaume du Danemark : 200 œuvres seront réunies au Petit Palais, à Paris, pour le prouver, signées d’artistes d’autant moins connus sous nos climats qu’ils n’avaient pas été montrés ensemble à Paris depuis trente-cinq ans (les heureux habitants de Roubaix et du Havre avaient pu en avoir, grâce à un collectionneur privé, un avant-goût avec une exposition en 2014). Le troublant Vilhelm Hammershoi (1864-1916), a bien été exposé en 2019 au Musée Jacquemart-André. Sinon, qui est familier de Christoffer Eckersberg, de son élève Christen Kobke, de Martinus Rorbye, l’une des figures du groupe de peintres établis dans le village de Skagen, ou de Constantin Hansen, fasciné par les mythes scandinaves ? Pas grand monde, et cette exposition, organisée en collaboration avec le Statens Museum for Kunst de Copenhague et le Nationalmuseum de Stockholm, sera là pour y remédier, tout en nous en apprenant beaucoup sur la vie sociale, politique, économique autant que sur le milieu culturel de ce pays au XIXe siècle. Ha. B.

Petit Palais, avenue Winston-Churchill, Paris 8e. Du 28 avril au 16 août. Du mardi au dimanche de 10 heures à 18 heures.

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